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– 47 –
guerre. On peut être inquiet pour l’avenir... Alors, pour vivre, n’attendons pas
demain... Le bonheur, c’est aujourd’hui.
La francophonie
Deux francophones échangent leurs impressions sur la France et les
Français. La France, pour le Canadien, est le pays de ses ancêtres: de lointains
cousins y habitent encore. Il s’intéresse beaucoup à l’histoire et à la géographie
de la France, où il passe toujours de très bonnes vacances.
Le Belge, lui, est plus critique. Il trouve les Français peu accueillants et
même froids. Ils sont, pense-t-il, très fiers de tout ce qui est français et
cependant jamais satisfaits de la façon dont on les gouverne... Le Canadien a
remarqué que le Français trouve son bonheur chez lui et non pas dans la
societé où il vit. Serait-il donc trop individualiste ?
EXERCICES DE PRONONCIATION
LES VOYELLES.
Le son [ i ]
Ecoutez et répétez.
a. Sylvie – Marie – Paris – midi – minuit – l’après–midi – c’est Philippe,
Philippe Lamy. – Sylvie et Marie visitent Paris avec des amis. – Il est six
heures dix.
b. Sylvie habite à Paris. – C’est un film triste. – Le taxi, c’est rapide. –
Oui, avec ton stylo, c’est facile! – Sa petite amie est typique. – J’ai cours ici
à six heures et ma copine aussi.
Les sons [ i ] / [ y]
L’Université est à dix minutes.
Ecoutez et répétez.
a. Il achète cette chemise dans cette boutique? – La chemise est dans la
vitrine. – C’est un article pratique. – Qui est–ce qui a le prix de cet article?
b. Les chaussures sur le bureau? C’est amusant. – Quel numéro? – Cet
étudiant a une voiture, cette étudiante préfère le bus. – Le pull–over ne va pas
avec le costume.
c. Le costume est dans la vitrine. – Le petit ami de sa fille a une voiture
et un studio; il va au bureau en bus. – Le bus, c’est pratique. – En dix minutes,
il est en ville, au six de la rue Ballu.
guerre. On peut être inquiet pour l’avenir... Alors, pour vivre, n’attendons pas demain... Le bonheur, c’est aujourd’hui. La francophonie Deux francophones échangent leurs impressions sur la France et les Français. La France, pour le Canadien, est le pays de ses ancêtres: de lointains cousins y habitent encore. Il s’intéresse beaucoup à l’histoire et à la géographie de la France, où il passe toujours de très bonnes vacances. Le Belge, lui, est plus critique. Il trouve les Français peu accueillants et même froids. Ils sont, pense-t-il, très fiers de tout ce qui est français et cependant jamais satisfaits de la façon dont on les gouverne... Le Canadien a remarqué que le Français trouve son bonheur chez lui et non pas dans la societé où il vit. Serait-il donc trop individualiste ? EXERCICES DE PRONONCIATION LES VOYELLES. Le son [ i ] Ecoutez et répétez. a. Sylvie – Marie – Paris – midi – minuit – l’après–midi – c’est Philippe, Philippe Lamy. – Sylvie et Marie visitent Paris avec des amis. – Il est six heures dix. b. Sylvie habite à Paris. – C’est un film triste. – Le taxi, c’est rapide. – Oui, avec ton stylo, c’est facile! – Sa petite amie est typique. – J’ai cours ici à six heures et ma copine aussi. Les sons [ i ] / [ y] L’Université est à dix minutes. Ecoutez et répétez. a. Il achète cette chemise dans cette boutique? – La chemise est dans la vitrine. – C’est un article pratique. – Qui est–ce qui a le prix de cet article? b. Les chaussures sur le bureau? C’est amusant. – Quel numéro? – Cet étudiant a une voiture, cette étudiante préfère le bus. – Le pull–over ne va pas avec le costume. c. Le costume est dans la vitrine. – Le petit ami de sa fille a une voiture et un studio; il va au bureau en bus. – Le bus, c’est pratique. – En dix minutes, il est en ville, au six de la rue Ballu. – 47 –
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