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deux Nieuport, en ruines, n’offraient plus que l’abri de leurs caves aux chefs
et aux postes de secours des différents corps. (Cocteau.) – 5. Bibracte était la
ville la plus industrieuse des Gaule. (C. Jullian.)
13. Justifiez l’ortographe les noms en italiques.
a) 1. Solidarité des Brunswick, des Nassau, des Romanoff, des Hohen-
sollern, des Habsbourg avec les Bourbons. (Hugo.) – 2. Dieu a soin que le
monde ne voie pas beaucoup d’Alexandres, de Césars et de Napoléons: ils
coûtent cher! (Veuillot.) – 3. Les armes des Chateaubriand étaient d’abord
des pommes de pin avec la devise «Je sème l’or». (Chateaubriand.) – 4. Le
plus beau des Parténons ne vaut pas un moutonnement de dunes dorées par le
soleil. (E. Psichari.) – 5. Je vois, de janvier à décembre, la procession des
bougeois, les Solons qui vont à la Chambre et les Arthurs qui vont au bois.
(Th. Gautier.)
b) 1. Du caractère anglais et du despotisme légué aux Stuarts par les
Tudors est sortie la révolution d’Angleterre. Du caractère français et de
l’anarchie nobiliaire léguée par les guerres civiles aux Bourbons est sortie la
monarchie de Louis XIV. (Taine.) – 2. Les Voltaire, les Montesquieu, les
Rousseau, les Diderot même conserveront cet outil de précision, et le partage-
ront ou transmettront à tous les écrivains de marque. (Thérive.) – 3. On savait
que les plus beaux Grecos étaient chez moi. (Malraux.) – 4. Cinq ans
d’embrassades, de massacres, de discours, de «Marseillaise», de carmagnoles,
c’est long. (A. France.) – 5. C’est avec les Goncourt que commence cette pré-
dilection pour les cas exceptionnels, pathologiques. (J. Vier.)
14. Mettez au pluriel les noms composés.
a) 1. Le chef-lieu de la province. – 2. La table du wagon-restaurant. – 3.
La clef du coffre-fort. – 4. L’aile de la chauve-souris. – 5. Le cadre de cette
eau-forte. – 6. Le nid de l’oiseau-mouche. – 7. La tige du chou-fleur. – 8. Le
piquant du porc-épic. – 9. L’arc-boutant de ce mur.
b) 1. L’anniversaire de la grand-mère. – 2. Le chef-d’œuvre de l’artiste.
– 3. L’appel du haut-parleur. – 4. ..... le faux-fuyant de l’hypocrisie. – 5. Le
timbre-poste de ce pays. – 6. L’architecte du gratte-ciel. – 7. L’arrière-
boutique du brocanteur. – 8. Le pétale de la perce-neige. – 9. La porte du rez-
de-chaussée. – 10. L’auteur de l’avant-projet.
c) 1. Le nom de l’ayant-droit. – 2. La clef de la garde-robe. – 3. Le mo-
dèle de ce couvre-lit. – 4. Un rôle de bouche-trou. – 5. Le personnage de ce
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bas-relief. – 6. Ce cabaret était un coupe-gorge. – 7. Le mot du pince-sans-
rire. – 8. Le banc du terre-plein. – 9. Le post-scriptum de la lettre. – 10.
L’inscription de l’ex-voto.
15. Mettez au pluriel les noms composés en italiques.
a) 1. Quelle variété de teintes dans ces plate-bande! Les reine-
marguerite y voisinent avec les bouton-d’or, les gueule-de-lion, les pied-
d’alouette et les belle-d’un-jour. – 2. On a fait aux belle-mère une réputation
détestable. – 3. Les avant-bec d’un pont sont les contreforts en avant et en
arrière de la pile de ce pont. – 4. Ne soyez pas des casse-cou. – 5. Quels tristes
contrastes parfois entre nos pensées et nos arrière-pensée.
b) 1. L’hiver s’en va; déjà voici les premières perce-neige. – 2. Sachons
de ne pas fuir les tête-à-tête avec nous-mêmes. – 3. Un homme droit ne parle
pas par sous-entendu, il ne fait pas de croc-en-jambe à la vérité. – 4. Pour bien
prouver l’authenticité de certains textes, on en donne parfois des fac-similé
photographiques. – 5. Les perce-oreille sont inoffensifs: ils ne percent que des
fruits.
16. Justifiez l’ortographe des noms en italiques.
a) 1. Les enfants font des bonshommes de neige dans tous les jardins. –
2. Les églises paraissent des maisonettes à côté des gratte-ciel. – 3. Mes deux
beaux-frères habitent la campagne. – 4. Les petits-enfants sont des touche-à-
tout dont il faut se méfier. – 5. J’enrichis par des échanges ma collection de
timbres-poste.
b) 1. Mille arcs-en-ciel se courbent et se croisent sur l’abîme. (Cha-
teaubriand.) – 2. Tous les après-midi, il va à la plage nouvellement aménagée
sur les bords du Cher. (R. Sabatier.) – 3. Nos arrière-grands-mères, faute de
poches, avaient des sacs, tout comme leurs arrière-petites-filles, pour la même
raison. (F. Hermant.) – 4. Un vieil homme tout moussu de barbe vend des
perce-neige en pied avec leur bulbe gangué de terre, et leur fleur en pendelo-
que qui a la forme d’une abeille. (Colette.) – 5. Ces procès-verbaux des com-
munes rurales sont autant de fleurs sauvages qui semblent avoir poussé au
sein des moissons. (Michelet.) – 6. Les seuls traités qui compteraient sont
ceux qui se concluraient entre les arrière-pensées.
c) 1. Elle ne connaissait à peu près personne dans cette assemblée en-
dimanchée, où les chapeaux à fleurs, les crinolines parisiennes avaient rem-
deux Nieuport, en ruines, n’offraient plus que l’abri de leurs caves aux chefs bas-relief. – 6. Ce cabaret était un coupe-gorge. – 7. Le mot du pince-sans- et aux postes de secours des différents corps. (Cocteau.) – 5. Bibracte était la rire. – 8. Le banc du terre-plein. – 9. Le post-scriptum de la lettre. – 10. ville la plus industrieuse des Gaule. (C. Jullian.) L’inscription de l’ex-voto. 13. Justifiez l’ortographe les noms en italiques. 15. Mettez au pluriel les noms composés en italiques. a) 1. Solidarité des Brunswick, des Nassau, des Romanoff, des Hohen- a) 1. Quelle variété de teintes dans ces plate-bande! Les reine- sollern, des Habsbourg avec les Bourbons. (Hugo.) – 2. Dieu a soin que le marguerite y voisinent avec les bouton-d’or, les gueule-de-lion, les pied- monde ne voie pas beaucoup d’Alexandres, de Césars et de Napoléons: ils d’alouette et les belle-d’un-jour. – 2. On a fait aux belle-mère une réputation coûtent cher! (Veuillot.) – 3. Les armes des Chateaubriand étaient d’abord détestable. – 3. Les avant-bec d’un pont sont les contreforts en avant et en des pommes de pin avec la devise «Je sème l’or». (Chateaubriand.) – 4. Le arrière de la pile de ce pont. – 4. Ne soyez pas des casse-cou. – 5. Quels tristes plus beau des Parténons ne vaut pas un moutonnement de dunes dorées par le contrastes parfois entre nos pensées et nos arrière-pensée. soleil. (E. Psichari.) – 5. Je vois, de janvier à décembre, la procession des bougeois, les Solons qui vont à la Chambre et les Arthurs qui vont au bois. b) 1. L’hiver s’en va; déjà voici les premières perce-neige. – 2. Sachons (Th. Gautier.) de ne pas fuir les tête-à-tête avec nous-mêmes. – 3. Un homme droit ne parle pas par sous-entendu, il ne fait pas de croc-en-jambe à la vérité. – 4. Pour bien b) 1. Du caractère anglais et du despotisme légué aux Stuarts par les prouver l’authenticité de certains textes, on en donne parfois des fac-similé Tudors est sortie la révolution d’Angleterre. Du caractère français et de photographiques. – 5. Les perce-oreille sont inoffensifs: ils ne percent que des l’anarchie nobiliaire léguée par les guerres civiles aux Bourbons est sortie la fruits. monarchie de Louis XIV. (Taine.) – 2. Les Voltaire, les Montesquieu, les Rousseau, les Diderot même conserveront cet outil de précision, et le partage- 16. Justifiez l’ortographe des noms en italiques. ront ou transmettront à tous les écrivains de marque. (Thérive.) – 3. On savait que les plus beaux Grecos étaient chez moi. (Malraux.) – 4. Cinq ans a) 1. Les enfants font des bonshommes de neige dans tous les jardins. – d’embrassades, de massacres, de discours, de «Marseillaise», de carmagnoles, 2. Les églises paraissent des maisonettes à côté des gratte-ciel. – 3. Mes deux c’est long. (A. France.) – 5. C’est avec les Goncourt que commence cette pré- beaux-frères habitent la campagne. – 4. Les petits-enfants sont des touche-à- dilection pour les cas exceptionnels, pathologiques. (J. Vier.) tout dont il faut se méfier. – 5. J’enrichis par des échanges ma collection de timbres-poste. 14. Mettez au pluriel les noms composés. b) 1. Mille arcs-en-ciel se courbent et se croisent sur l’abîme. (Cha- a) 1. Le chef-lieu de la province. – 2. La table du wagon-restaurant. – 3. teaubriand.) – 2. Tous les après-midi, il va à la plage nouvellement aménagée La clef du coffre-fort. – 4. L’aile de la chauve-souris. – 5. Le cadre de cette sur les bords du Cher. (R. Sabatier.) – 3. Nos arrière-grands-mères, faute de eau-forte. – 6. Le nid de l’oiseau-mouche. – 7. La tige du chou-fleur. – 8. Le poches, avaient des sacs, tout comme leurs arrière-petites-filles, pour la même piquant du porc-épic. – 9. L’arc-boutant de ce mur. raison. (F. Hermant.) – 4. Un vieil homme tout moussu de barbe vend des b) 1. L’anniversaire de la grand-mère. – 2. Le chef-d’œuvre de l’artiste. perce-neige en pied avec leur bulbe gangué de terre, et leur fleur en pendelo- – 3. L’appel du haut-parleur. – 4. ..... le faux-fuyant de l’hypocrisie. – 5. Le que qui a la forme d’une abeille. (Colette.) – 5. Ces procès-verbaux des com- timbre-poste de ce pays. – 6. L’architecte du gratte-ciel. – 7. L’arrière- munes rurales sont autant de fleurs sauvages qui semblent avoir poussé au boutique du brocanteur. – 8. Le pétale de la perce-neige. – 9. La porte du rez- sein des moissons. (Michelet.) – 6. Les seuls traités qui compteraient sont de-chaussée. – 10. L’auteur de l’avant-projet. ceux qui se concluraient entre les arrière-pensées. c) 1. Le nom de l’ayant-droit. – 2. La clef de la garde-robe. – 3. Le mo- c) 1. Elle ne connaissait à peu près personne dans cette assemblée en- dèle de ce couvre-lit. – 4. Un rôle de bouche-trou. – 5. Le personnage de ce dimanchée, où les chapeaux à fleurs, les crinolines parisiennes avaient rem- 37 38