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14. (Etre) ce Dieu le Père, je lui (dire) quand même ses quatre vérités (1. parlé).
15. On dit qu’il (mentir) sans vergogne.
4. Étudiez les valeurs des conditionnels employés dans ce texte:
Chez le médecin vétérinaire
- Bonjour, docteur, mon chien est malade.
- Oh, pauvre bête, depuis quand est-il malade?
- Il est malade, ou, plutôt, il est blessé depuis que je l’ai jeté par la fenêtre; il
s’est froissé une côte, il s’en est cassé deux ainsi qu’une patte.
- Ne vous doutiez-vous pas qu’il se ferait du mal en tombant?
- Je ne m’en doutais absolument pas. Je croyais, depuis toujours, que les chiens
étaient souples comme les chats et que mon chien retomberait sur ses pattes, sans s’en
casser aucune. Si j’avais su qu’il se serait fait du mal, j’aurais réfléchi avant de le
jeter par la fenêtre. J’aurais mis, dans la cour, un filet comme les acrobates en
utilisent au cirque. Ainsi Médor ne se serait pas fait du mal en tombant.
- Mais auriez mieux fait de ne pas en mettre du tout et de ne pas jeter votre
chien par la fenêtre. Quelle mauvaise idée vous avez eue. (C’est une bien mauvaise
idée que vous avez eue).
- J’en conviens, docteur, si j’avais su... Je crains que ce ne soit trop tard.
Pourvu que vous puissiez le guérir. Pourriez-vous faire quelque chose pour les côtes
de mon chien?
- Je pense qu’il est possible que j’en guérisse deux, que j’en raccommode une
autre, tant bien que mal, que j’en remplace trois, et pour les autres, je m’emploierai
de mon mieux.
- Vous me feriez un si grand plaisir, vous soulageriez ma conscience, même si
vous soulagez un peu ma bourse; pour ses pauvres pattes, pensez-vous qu’il soit
possible que vous les lui guérissiez? (Les remettiez toutes en bon état?).
- Le garantirais-je (que) je mentirais. Toutefois, s’il lui reste trois pattes, plus
une béquille, il en aura plus qu’il ne lui en faut.
23 14. (Etre) ce Dieu le Père, je lui (dire) quand même ses quatre vérités (1. parlé). 15. On dit qu’il (mentir) sans vergogne. 4. Étudiez les valeurs des conditionnels employés dans ce texte: Chez le médecin vétérinaire - Bonjour, docteur, mon chien est malade. - Oh, pauvre bête, depuis quand est-il malade? - Il est malade, ou, plutôt, il est blessé depuis que je l’ai jeté par la fenêtre; il s’est froissé une côte, il s’en est cassé deux ainsi qu’une patte. - Ne vous doutiez-vous pas qu’il se ferait du mal en tombant? - Je ne m’en doutais absolument pas. Je croyais, depuis toujours, que les chiens étaient souples comme les chats et que mon chien retomberait sur ses pattes, sans s’en casser aucune. Si j’avais su qu’il se serait fait du mal, j’aurais réfléchi avant de le jeter par la fenêtre. J’aurais mis, dans la cour, un filet comme les acrobates en utilisent au cirque. Ainsi Médor ne se serait pas fait du mal en tombant. - Mais auriez mieux fait de ne pas en mettre du tout et de ne pas jeter votre chien par la fenêtre. Quelle mauvaise idée vous avez eue. (C’est une bien mauvaise idée que vous avez eue). - J’en conviens, docteur, si j’avais su... Je crains que ce ne soit trop tard. Pourvu que vous puissiez le guérir. Pourriez-vous faire quelque chose pour les côtes de mon chien? - Je pense qu’il est possible que j’en guérisse deux, que j’en raccommode une autre, tant bien que mal, que j’en remplace trois, et pour les autres, je m’emploierai de mon mieux. - Vous me feriez un si grand plaisir, vous soulageriez ma conscience, même si vous soulagez un peu ma bourse; pour ses pauvres pattes, pensez-vous qu’il soit possible que vous les lui guérissiez? (Les remettiez toutes en bon état?). - Le garantirais-je (que) je mentirais. Toutefois, s’il lui reste trois pattes, plus une béquille, il en aura plus qu’il ne lui en faut.
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