ВУЗ:
Составители:
Рубрика:
Infinitif Participe présent Participe passé Participe passé composé Gérondif
Porter Portant Porté Ayant porté En portant
Fournir Fournissant Fourni
Couvrir Couvrant Couvert
Concerner
Réduire
Définir
Lier
Appartenir
Exercice VII. Ouvrez les parenthèses et employez les participes ou bien le gérondif:
1. L’entreprise est une unité économique (jouir) de l'autonomie juridique et (caractériser) par son patrimoine, d'une part, son
activité, d'autre part.
2. Au-delà de la fonction de production et de la fonction commerciale, une entreprise doit comprendre des départements
(assurer) les fonctions financières, de gestion et de comptabilité, administratives.
3. Le marketing est une façon de concevoir et d'exercer l'ensemble des activités (avoir) pour objet la création et l'adaptation des
produits et services, la stratégie commerciale, la mise en œuvre des moyens nécessaires à l'application de cette stratégie en fonction
des besoins du consommateur et des structures du marché.
4. (étudier) les différents types de produits, on peut les grouper en: produits leaders ou "locomotives", qui sont souvent le fruit
d'une innovation technique; produits tactiques, qui complètent les produits locomotives; et les produits d'appel (amener) une clientèle
à s'intéresser à un type de bien.
5. Les éléments qui relèvent de la science du marketing sont: le nom du produit, les canaux de distribution, son prix, la
campagne de promotion et de publicité (viser) à le faire connaître.
6. (fabriquer) les produits à partir de matières premières et de services, l’entreprise les sort sur le marché.
7. Le supplément de richesse, (créer) par l’activité de l’entreprise, est appelé valeur ajoutée.
8. Toute importation doit donner obligatoirement lieu à l’établissement de certaines formalités auprès d’un bureau d’entrée des
marchandises, (appeler) bureau douanier.
9. Je dresse toujours la liste de marchandises (aller) faire mes courses.
Exercice VIII. Lisez le texte supplémentaire, composez le plan et résumez le texte d’après ce plan:
Les théories du commerce international
Pour augmenter sa richesse – comme l'affirment les théoriciens du mercantilisme -, une nation doit accumuler le plus d'or
possible. Si la nation est démunie de ressources minières, l'État doit intervenir et interdire la sortie de métaux précieux tout en
facilitant l'afflux d'or et d'argent en créant les conditions d'un excédent permanent des exportations d'autres biens sur les importations.
Mais cette accumulation de numéraire aura pour conséquence l'obligation de protéger les industries nationales contre la concurrence
étrangère et de favoriser leur développement afin d'assurer, grâce à l'indépendance économique et à une politique commerciale
protectionniste, les bases de la puissance militaire de la nation. La politique mercantiliste – qui prend en France le nom de colbertisme
– finit par susciter les vives réactions des économistes classiques Richard Cantillon et Adam Smith à la fin du XVIII
e
siècle. Leurs
écrits posent les fondements du libéralisme économique (laisser faire, laisser passer), doctrine qui prévaudra pendant tout le XIX
e
siècle et encore au XX
e
jusqu'à la Première Guerre mondiale. Les partisans du libéralisme sont opposés à toute intervention de l' État
(concessions, droit de monopole, aides à l'exportation, contingentement des importations), car elle risque d'entraver le développement
des échanges. Ils défendent, au contraire, le droit à la libre concurrence entre les nations, chacune d'elles devant se spécialiser dans ses
productions les plus rentables, plutôt que de chercher à atteindre une illusoire et coûteuse autarcie. "La sagesse d'un chef de famille,
affirme Adam Smith, est de ne pas fabriquer chez lui ce qu'il a moins de peine à acheter à l'extérieur. "La libre concurrence doit
permettre à chaque pays de se consacrer à la production à laquelle il est le mieux adapté, tout en contribuant à l'essor des industries et
au développement des échanges commerciaux" (théorie dite de l'avantage absolu). Mais que se passe-t-il si un pays est contraint de
tout importer sans pouvoir exporter aucune marchandise?
David Ricardo oppose à cette objection sa théorie des coûts comparés, ou théorie des avantages comparatifs. La spécialisation
s'avère avantageuse quand on compare les coûts de production d'une même marchandise dans deux pays différents. Considérons,
comme le fait David Ricardo, deux produits, le pain et le vin, et deux pays, l'Angleterre et le Portugal. Supposons qu'en Angleterre le
coût de production d'une unité de pain (calculé en unités de travail nécessaires) soit de 100 et le coût de production pour une unité de
vin, de 120. Au Portugal, ces coûts sont de 90 pour le pain et de 80 pour le vin. Il ressort que le Portugal est, par rapport à
l'Angleterre, en situation de supériorité absolue pour ces deux produits, supériorité encore plus grande quand il s'agit du vin. Dans ce
cas précis, le principe des prix comparés démontre l'avantage de la spécialisation, la nécessité des échanges. Pour produire chez elle
une unité de pain et une unité de vin, l'Angleterre dépense 220 unités de travail. Si elle se spécialise dans le pain tandis que le Portugal
se spécialise dans le vin (où réside son plus grand avantage) et que les deux pays procèdent à des échanges, l'Angleterre économisera
20 unités de travail puisqu'elle dépensera 100 unités pour produire l'unité de pain qu'elle consomme et 100 autres pour l'autre unité de
pain qu'elle échange contre une unité de vin. Le Portugal, de son côté, dépensera 160 unités de travail (80 pour une unité de vin qu'il
consomme et 80 pour produire l'autre unité de vin qu'il échangera contre une unité de pain) au lieu des 170 qu'il aurait dû fournir s'il
Страницы
- « первая
- ‹ предыдущая
- …
- 15
- 16
- 17
- 18
- 19
- …
- следующая ›
- последняя »