Практикум по культуре речевого общения. Ч.1. Гиляровская Т.В - 31 стр.

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1999, la couverture maladie universelle (CMU) permet aux plus démunis, à ceux
qui, privés d'emploi, ne cotisent pas à la Sécurité sociale, de bénéficier de la
même protection sociale que ceux qui cotisent.
3. La construction de la Sécurité sociale, dont on a fêté les soixante ans en
octobre 2005, est due en particulier à l'œuvre d'un homme, Pierre Laroque, porté
par la situation exceptionnelle de la Libération, et dont l'objectif est d' «atteindre
à plus de justice sociale»et de «réduire les inégalités existant entre les hommes
sur le plan de la sécurité du lendemain».
D'après, Label France
Lecture et compréhension du texte
3. Lisez le texte en entier, rédigez le plan, qui comprend les parties
suivantes: problèmes – causes – conséquences – solutions.
Interprétation et commentaire du texte
4. Résumez le texte cohérent.
Texte 4
1. Lisez le texte suivant et définissez son thème. Justifiez votre choix.
L'art de guérir n'est pas l'apanage de la seule médecine occidentale.
Partout à travers le monde, d'autres thérapies, parfois très anciennes, soulagent
les populations grâce à une connaissance profonde de l'être humain et de son
environnement.
«Tous les peuples, explique Yvette Parès, ont élaboré des médecines selon
leur intelligence, leur génie, leur représentation de l'univers et leur envi-
ronnement». Et de citer pêle-mêle: les médecines chinoise, amérindienne, arabe,
polynésienne... et, bien sûr, africaine. Cette femme occidentale (Française),
chercheuse, médecin et universitaire au Sénégal, sait de quoi elle parle. Vingt
ans durant, elle a pratiqué la médecine traditionnelle africaine à l'hôpital Keur
Massar, près de Dakar, qu'elle a contribué à fonder en 1980, et où ont été
soignés plus de 250 000 patients.
Comme toutes les médecines traditionnelles à travers le monde, la thé-
rapeutique africaine est sacrée. «Le malade, insiste Yvette Parès, est considéré
dans sa totalité, dans l'unité que forment son corps, son âme, son esprit et pas
seulement l'organe malade (... ). Le thérapeute se considère comme un inter-
médiaire entre le principe de vie d'ordre divin et le patient. Son rôle est d'orien-
ter et de stimuler les forces de guérison du malade par l'accueil, l'écoute, les
soins, les traitements, le réconfort, les prières et les encouragements».
«De plus, la médecine traditionnelle n'attaque pas un agent pathogène
d'une seule manière, mais à l'aide de l'ensemble des substances actives (... ) de
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1999, la couverture maladie universelle (CMU) permet aux plus démunis, à ceux
qui, privés d'emploi, ne cotisent pas à la Sécurité sociale, de bénéficier de la
même protection sociale que ceux qui cotisent.
       3. La construction de la Sécurité sociale, dont on a fêté les soixante ans en
octobre 2005, est due en particulier à l'œuvre d'un homme, Pierre Laroque, porté
par la situation exceptionnelle de la Libération, et dont l'objectif est d' «atteindre
à plus de justice sociale»et de «réduire les inégalités existant entre les hommes
sur le plan de la sécurité du lendemain».
                                                             D'après, Label France

                          Lecture et compréhension du texte

      3. Lisez le texte en entier, rédigez le plan, qui comprend les parties
suivantes: problèmes – causes – conséquences – solutions.

                         Interprétation et commentaire du texte

      4. Résumez le texte cohérent.
                                          Texte 4

      1. Lisez le texte suivant et définissez son thème. Justifiez votre choix.

       L'art de guérir n'est pas l'apanage de la seule médecine occidentale.
Partout à travers le monde, d'autres thérapies, parfois très anciennes, soulagent
les populations grâce à une connaissance profonde de l'être humain et de son
environnement.
       «Tous les peuples, explique Yvette Parès, ont élaboré des médecines selon
leur intelligence, leur génie, leur représentation de l'univers et leur envi-
ronnement». Et de citer pêle-mêle: les médecines chinoise, amérindienne, arabe,
polynésienne... et, bien sûr, africaine. Cette femme occidentale (Française),
chercheuse, médecin et universitaire au Sénégal, sait de quoi elle parle. Vingt
ans durant, elle a pratiqué la médecine traditionnelle africaine à l'hôpital Keur
Massar, près de Dakar, qu'elle a contribué à fonder en 1980, et où ont été
soignés plus de 250 000 patients.
       Comme toutes les médecines traditionnelles à travers le monde, la thé-
rapeutique africaine est sacrée. «Le malade, insiste Yvette Parès, est considéré
dans sa totalité, dans l'unité que forment son corps, son âme, son esprit et pas
seulement l'organe malade (... ). Le thérapeute se considère comme un inter-
médiaire entre le principe de vie d'ordre divin et le patient. Son rôle est d'orien-
ter et de stimuler les forces de guérison du malade par l'accueil, l'écoute, les
soins, les traitements, le réconfort, les prières et les encouragements».
       «De plus, la médecine traditionnelle n'attaque pas un agent pathogène
d'une seule manière, mais à l'aide de l'ensemble des substances actives (... ) de

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