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Lisez le texte qui suit et dites lesquelles des affirmations ci-dessous
correspondent aux faits y mentionnées ; si l’affirmation est fausse, corriger-la.
a. Le mot francophonie a été employé pour la première fois en 1880.
b. La terre que Reclus a invente, recouvrait a la fois une idée linguistique et une
relation géographique.
c. La réapparition du mot « francophonie » en 1970 sous la plume Segar Senghor.
d. La conclusion de l’accord sur la coopération culturelle et technique des pays
francophones.
e. L’entrée du mot « francophonie » dans les dictionnaires ou il signifie le fait de
parler français.
f. La participation des présidents des pays d’Afrique noire aux sommets des pays
francophones.
Aujourd’hui il y a dans le monde environ 140 millions de personnes qui parlent
français – francophones, en comparaison aux 350 millions d’anglophones, aux 200
millions d’hispanophones et aux 120 millions d’arabophones.
Le mot «francophonie» a été utilisé pour la première fois en 1880 par l’historien
et géographe français Onésime Reclus*, frère du célèbre géographe Elisée Reclus,
pour désigner à la fois les populations parlant français et l’ensemble des territoires
ou l’on parle français. Reclus étudiait principalement la France et l’Afrique du
Nord.
Il eut bientôt l’idée de classer les habitants de la planète en fonction de la langue
qu’ils parlaient dans leurs vie quotidienne et dans leurs relations sociales.
Le concept de francophonie a été véritablement introduit en 1956 par Léopold
Ségar Senghor* alors député du Sénégal, dans un article de la revue française « La
Nef» intitulé «Ou va l’Union française?» Senghor y plaidait la cause d’une
République fédérale et envisageait les perspectives d’une langue commune
permettant à un ensemble de pays et de peuples de jouer un rôle dans le monde qui
était en train de naître.
Le mot «francophonie» réapparaît en 1959, sous la plume de Raymond
Queneau*. Les premières années 60 correspondent à la période de la décolonisation
et donc à l’é mergence de nouvelles nations. Les présidents du Sénégal, de la Tunisie
et du Niger s’associent dans la volonté de maintenir «les liens qu’une histoire
commune avait établis avec l’ancienne métropole, et dont la langue française était la
fois le symbole et l’instrument» .
Cet accord débouchera en 1966 sur un projet de communauté francophone et, en
1970, sur la création à Niamey de l’Agence de coopération culturelle et technique
des pays francophones (ACCT).
C’est en 1968 que le mot «francophonie» est entré dans le dictionnaire, recevant
deux acceptions principales :le fait de parler français et l’ensemble constitué par les
populations francophones (France, Belgique, Suisse, Canada, Afrique, etc.) .
En 1985, le ministre égyptien des Affaires étrangères, Boutros Ghali, justifia
l’adhésion de son pays à l’ACCT en déclarant voir dans le français «la langue du
non-alignement» .
7 Lisez le texte qui suit et dites lesquelles des affirmations ci-dessous correspondent aux faits y mentionnées ; si l’affirmation est fausse, corriger-la. a. Le mot francophonie a été employé pour la première fois en 1880. b. La terre que Reclus a invente, recouvrait a la fois une idée linguistique et une relation géographique. c. La réapparition du mot « francophonie » en 1970 sous la plume Segar Senghor. d. La conclusion de l’accord sur la coopération culturelle et technique des pays francophones. e. L’entrée du mot « francophonie » dans les dictionnaires ou il signifie le fait de parler français. f. La participation des présidents des pays d’Afrique noire aux sommets des pays francophones. Aujourd’hui il y a dans le monde environ 140 millions de personnes qui parlent français – francophones, en comparaison aux 350 millions d’anglophones, aux 200 millions d’hispanophones et aux 120 millions d’arabophones. Le mot «francophonie» a été utilisé pour la première fois en 1880 par l’historien et géographe français Onésime Reclus*, frère du célèbre géographe Elisée Reclus, pour désigner à la fois les populations parlant français et l’ensemble des territoires ou l’on parle français. Reclus étudiait principalement la France et l’Afrique du Nord. Il eut bientôt l’idée de classer les habitants de la planète en fonction de la langue qu’ils parlaient dans leurs vie quotidienne et dans leurs relations sociales. Le concept de francophonie a été véritablement introduit en 1956 par Léopold Ségar Senghor* alors député du Sénégal, dans un article de la revue française « La Nef» intitulé «Ou va l’Union française?» Senghor y plaidait la cause d’une République fédérale et envisageait les perspectives d’une langue commune permettant à un ensemble de pays et de peuples de jouer un rôle dans le monde qui était en train de naître. Le mot «francophonie» réapparaît en 1959, sous la plume de Raymond Queneau*. Les premières années 60 correspondent à la période de la décolonisation et donc à l’émergence de nouvelles nations. Les présidents du Sénégal, de la Tunisie et du Niger s’associent dans la volonté de maintenir «les liens qu’une histoire commune avait établis avec l’ancienne métropole, et dont la langue française était la fois le symbole et l’instrument». Cet accord débouchera en 1966 sur un projet de communauté francophone et, en 1970, sur la création à Niamey de l’Agence de coopération culturelle et technique des pays francophones (ACCT). C’est en 1968 que le mot «francophonie» est entré dans le dictionnaire, recevant deux acceptions principales :le fait de parler français et l’ensemble constitué par les populations francophones (France, Belgique, Suisse, Canada, Afrique, etc.) . En 1985, le ministre égyptien des Affaires étrangères, Boutros Ghali, justifia l’adhésion de son pays à l’ACCT en déclarant voir dans le français «la langue du non-alignement».
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