Методические указания по французскому языку "Моя семья" для студентов 1 курса. Кострюкова Е.А. - 16 стр.

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— Une cravate?
— C'est trop difficile à choisir. Grand-mère lui en a donné une à Noël dernier:
il ne la met jamais.
— Un portefeuille?
— C'est déjà mieux. Mais n'est-ce pas cela que maman veut lui acheter?
— Demandons conseil à grand-père. Il nous donnera de bonnes idées.
— J'aime mieux aller trouver tante Henriette: elle me dira ce qu'elle offre à
notre oncle.
— J'ai déjà posé la question à notre cousine Denise.
— Et qu'a-t-elle répondu?
— Que sa mère va acheter une veste de chasse à notre oncle.
— Et nos cousins, Denise et son frère, que vont-ils offrir à leur père?
— Un beau sac de cuir pour aller avec la veste.
— Heureusement qu'il n'y a pas de «Fête des Oncles»! Elle nous coûterait
cher!
* * *
Jean rentre à la maison et annonce:
Je viens de me fiancer avec Simone.
Mais elle n'a pas un sou, dit le père.
Elle dépense tout, dit la mère.
Elle n'aime pas les sports, dit le frère.
Elle a le nez trop long, dit la sœur.
Elle passe des heures à lire et à écrire, dit l'oncle.
— Elle s'habille mal, dit la tante.
— Peut-être, dit Jean. Mais elle a une grande qualité: elle n'a pas de famille.
(D'après France-Dimanche, François CHALAIS).
3 Урок 3. Jacques fait connaissance avec la famille de Jacqueline
3.1. Прочитайте и переведите текст
A Bordeaux Jacques cherche l'adresse de Jacqueline... Une fillette qui joue
dans la cour avec d'autres enfants lui indique la maison. Jacques entre dans un couloir
sombre et sale, il monte résolument l'escalier et frappe à la porte. Un homme lui
ouvre. Jacques demande :
— Excusez-moi, monsieur, pourriez-vous me dire si mademoiselle Jacqueline
Leroux habite bien cette maison
l
?
— Certainement, jeune homme, je suis son père.
— Je désirais la voir.
2
— Vous vous connaissez ?
— Je m'appelle Jacques Aubert et je travaille avec elle à l'Hôtel Lutétia, à
Paris.
— Il fallait le dire, mon gars. Entre et débarrasse-toi de ton pardessus.
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      — Une cravate?
      — C'est trop difficile à choisir. Grand-mère lui en a donné une à Noël dernier:
         il ne la met jamais.
      — Un portefeuille?
      — C'est déjà mieux. Mais n'est-ce pas cela que maman veut lui acheter?
      — Demandons conseil à grand-père. Il nous donnera de bonnes idées.
      — J'aime mieux aller trouver tante Henriette: elle me dira ce qu'elle offre à
         notre oncle.
      — J'ai déjà posé la question à notre cousine Denise.
      — Et qu'a-t-elle répondu?
      — Que sa mère va acheter une veste de chasse à notre oncle.
      — Et nos cousins, Denise et son frère, que vont-ils offrir à leur père?
      — Un beau sac de cuir pour aller avec la veste.
      — Heureusement qu'il n'y a pas de «Fête des Oncles»! Elle nous coûterait
         cher!

                                     * * *

      Jean rentre à la maison et annonce:
      — Je viens de me fiancer avec Simone.
      — Mais elle n'a pas un sou, dit le père.
      — Elle dépense tout, dit la mère.
      — Elle n'aime pas les sports, dit le frère.
      — Elle a le nez trop long, dit la sœur.
      — Elle passe des heures à lire et à écrire, dit l'oncle.
      — Elle s'habille mal, dit la tante.
      — Peut-être, dit Jean. Mais elle a une grande qualité: elle n'a pas de famille.
                                    (D'après France-Dimanche, François CHALAIS).


3 Урок 3. Jacques fait connaissance avec la famille de Jacqueline
3.1. Прочитайте и переведите текст
       A Bordeaux Jacques cherche l'adresse de Jacqueline... Une fillette qui joue
dans la cour avec d'autres enfants lui indique la maison. Jacques entre dans un couloir
sombre et sale, il monte résolument l'escalier et frappe à la porte. Un homme lui
ouvre. Jacques demande :
       — Excusez-moi, monsieur, pourriez-vous me dire si mademoiselle Jacqueline
Leroux habite bien cette maisonl ?
       — Certainement, jeune homme, je suis son père.
       — Je désirais la voir.2
       — Vous vous connaissez ?
       — Je m'appelle Jacques Aubert et je travaille avec elle à l'Hôtel Lutétia, à
Paris.
       — Il fallait le dire, mon gars. Entre et débarrasse-toi de ton pardessus.

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