Теоретическая фонетика французского языка. Федоров В.А. - 10 стр.

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1) Les consonnes formées avec les lèvres, c’est-à-dire les labiales
(bilabiales/губно-губные/; labiodentales /губно-зубные/);.
2) Les consonnes formées avec la langue, c’est-à-dire, les linguales
(prélinguales /переднеязычные/; médiolinguales /среднеязычные/;
postlinguales /заднеязычные/);
Il est à noter que le point d’articulation des consonnes postlinguales en
français est plus avancé que ne l’est celui des consonnes correspondantes du
russe, ce qui les rend susceptibles de mouillure devant les voyelles antérieures
( car, gare, qui, quai, gai).
3) Les uvulaires: r [ʁ, R].
III. Le présence/absence de la voix (la vibration des cordes vocales).
D’après l’action des cordes vocales les consonnes constituent deux groupes:
1) les consonnes sourdes,
pour lesquelles le souffle sort sans obstacle
des poumons, sans que les cordes vocales vibrent et qui sont de
simples bruits;
2) les consonnes sonores
pendant l’articulation desquelles les cordes
vocales vibrent et qui sont des sons mixtes (bruits + ton musical). La
distinction sonore/sourde est importante dans le système
consonantique français Ce type d’opposition joue un rôle
morphologique considérable: bref – brève, ils sont – ils ont, etc.
IV. La présence ou l’absence de la voix motive la classification
acoustique des consonnes d’après: la prédominance des bruits ou du ton
musical.
D’après la classification acoustique, toutes les consonnes se divisent en
bruits et en sonnantes (voir supplément – tableaux). Les consonnes-bruits (le
terme n’existe pas dans les manuels français qui répartissent les consonnes en
deux groupes de sourdes et de sonores, sans tenir compte du rôle particulier
des sonnantes, qui les oppose aux autres consonnes sonores.
Les traits particuliers et essentiels du consonantisme français.
Tendances.
1. La plupart des consonnes sont formées dans la partie antérieure de la
bouche. Les consonnes sont fortes et douces. Toutes les consonnes
sont susceptibles d’apparaître dans toutes les positions (initiale,
intérieure, finale).
2. En règle générale, les consonnes graphiques initiales se prononcent
toujours; les consonnes graphiques intérieures se prononcent
presque toujours, avec quelques exceptions (aptitude, mais
compter); les consonnes graphiques finales se prononcent rarement.
La liaison fait apparaître une consonne sous-jacente. L’opposition
phonologique “sourde-sonore” est de première importance pour les
consonnes du français: honte – onde, vif – vive, bac – bague.
        1) Les consonnes formées avec les lèvres, c’est-à-dire les labiales
             (bilabiales/губно-губные/; labiodentales /губно-зубные/);.
        2) Les consonnes formées avec la langue, c’est-à-dire, les linguales
             (prélinguales /переднеязычные/; médiolinguales /среднеязычные/;
             postlinguales /заднеязычные/);
        Il est à noter que le point d’articulation des consonnes postlinguales en
français est plus avancé que ne l’est celui des consonnes correspondantes du
russe, ce qui les rend susceptibles de mouillure devant les voyelles antérieures
( car, gare, qui, quai, gai).
       3) Les uvulaires: r [ʁ, R].
        III. Le présence/absence de la voix (la vibration des cordes vocales).
D’après l’action des cordes vocales les consonnes constituent deux groupes:
        1) les consonnes sourdes, pour lesquelles le souffle sort sans obstacle
             des poumons, sans que les cordes vocales vibrent et qui sont de
             simples bruits;
        2) les consonnes sonores pendant l’articulation desquelles les cordes
             vocales vibrent et qui sont des sons mixtes (bruits + ton musical). La
             distinction sonore/sourde est importante dans le système
             consonantique français Ce type d’opposition joue un rôle
             morphologique considérable: bref – brève, ils sont – ils ont, etc.
        IV. La présence ou l’absence de la voix motive la classification
acoustique des consonnes d’après: la prédominance des bruits ou du ton
musical.
        D’après la classification acoustique, toutes les consonnes se divisent en
bruits et en sonnantes (voir supplément – tableaux). Les consonnes-bruits (le
terme n’existe pas dans les manuels français qui répartissent les consonnes en
deux groupes de sourdes et de sonores, sans tenir compte du rôle particulier
des sonnantes, qui les oppose aux autres consonnes sonores.
               Les traits particuliers et essentiels du consonantisme français.
                                       Tendances.
        1. La plupart des consonnes sont formées dans la partie antérieure de la
             bouche. Les consonnes sont fortes et douces. Toutes les consonnes
             sont susceptibles d’apparaître dans toutes les positions (initiale,
             intérieure, finale).
        2. En règle générale, les consonnes graphiques initiales se prononcent
             toujours; les consonnes graphiques intérieures se prononcent
             presque toujours, avec quelques exceptions (aptitude, mais
             compter); les consonnes graphiques finales se prononcent rarement.
             La liaison fait apparaître une consonne sous-jacente. L’opposition
             phonologique “sourde-sonore” est de première importance pour les
             consonnes du français: honte – onde, vif – vive, bac – bague.

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