Французский язык. Котнова А.С - 36 стр.

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2. La fonction principale du système est de créer des repères
linéaires qui permettraient au pilote de voir la
trajectoire de descente. Le faisceau de laser possède un angle de divergence
très faible, et apparaît dans l'air sous
forme de fil lumineux ce qui est un bon repère linéalre. A la base du système se trouve une combinaison de repères
linéaires à laser géodésiquement rattaché à la piste d'envol et d'atterrissage.
3. L'avion pénètre dans la zone de l'aérodrome. Les fils lumineux du laser s'étirent dans sa direction. Les fils forment
dans l'air une sorte de corridor qui conduit exactement au point d'atterrissage nécessaire. Se trouvant sur la
trajectoire de descente l'avion franchit ce que l'on appelle les points fixes lorsqu'à une altitude de vol déterminée doit
correspondre un éloignement bien déterminée par rapport à l’extrémité de la piste d'atterrissage.
4. Pour que ces points soient marqués, on dirige depuis la terre deux faisceaux de laser s’intersectant à l’altitude et à
la distance nécessaires. Le pilote observe un tableau analogue à l’envol : les rayons lumineux indiquent les limites
latérales de la piste.
5. Les repères à laser sont disposés de façon bien simple et claire. Même si un non-spécialiste regardait depuis la
cabine de pilotage, il pourrait définir nettement la trajectoire de descente et de voir si l’avion la suivait exactement.
6. Parmi les autres particularités du système on peut noter sa compatibilité totale avec n’importe quel autre
équipement radiotechnique et la possibilité de travailler dans le balisage lumineux habituel de l’aérodrome.
7. Il importe de noter aussi que le coût du système, les dépenses d’installation et d’exploitation sont bien inférieurs
au prix des systèmes radiotechniques d’atterrissage automatiques et de toutes sortes d’équipement de balisage
lumineux. La précision de guidage est, en outre, plus grand, et enfin le système consomme des dizaines de fois
moins d’énergie que ceux actuellement utilisés sur les aérodromes.
Les aides mécaniques de l'homme
1. Le courant interrompu de découvertes scientifiques et de solutions techniques sans lesquelles la progression de la
société humaine serait inimaginable, constitue l'un des traits essentiels de l'époque actuelle, celle de la révolution
scientifique.
2. Le terme “robot” ne figurait tout récemment que dans les romans de science-fiction, il existe à présent près de 60
000 machines qu'on pourrait nommer robots. Sans ces machines il serait impossible de manier des matériaux
radioactifs, de travailler sous l’océan et dans l’espace: en un mot, elles sont nécessaires là ou l’accès est encore
interdit aux hommes.
3. Mais le nucléaire, l’océan et l’espace ne sont pas le seul champ d'application pour les systèmes automatiques. Le
processus d'automation permet d'affranchir un nombre toujours plus grand de travailleurs du devoir de servir les
machines. Ce sont généralement des automates à commande numérique, susceptibles de remplacer l’homme près
des machines-outils, chaînes et diverses machines. Us accomplissent des opérations pénibles et monotones.
4. Bien que les machines deviennent de plus en plus complexes et spécialisées, leur utilisation en revanche se
simplifie. Le robot industriel c'est un automate multifonctionnel, qui peut servir pour différentes machines et
différents processus technologiques. Ce caractère “universel” est obtenu grâce à un système de commande basé sur
certains “mécanismes numériques”, qui autorisent à transformer rapidement le programme des mouvements.
5. Les robots de la première génération sont dépourvus de sens, ils ne peuvent fonctionner que dans des conditions
strictement déterminées. Les changements les plus insignifiants les rendent immédiatement inaptes au travail. Voici
pourquoi dans de nombreux pays du monde les spécialistes cherchent à perfectionner les robots, à les faire réagir au
milieu environnant. Si les robots “savaient” s'adopter aux conditions changeantes du fonctionnement, cela élargirait
infiniment le champ de leur application.
6. Les savants se penchent aussi sur la mise au point de nouveaux robots, dotés d'un intellect artificiel. Ils veulent
que les robots puissent distinguer les couleurs, les volumes, les formes, qu'ils aient “la mémoire” et l’ouïe pour être
commandé à la voix. La production attend ces machines et leur “naissance” est réelle, le niveau des sciences et des
techniques d'aujourd'hui nous autorise à l’affirmer.
Comment fonctionne le générateur magnétohydrodynamique
1. Dans les centrales thermiques avec turbines à vapeur, l’énergie thermique est transformée en énergie électrique en
plusieurs phases: au début la chaleur des produits de la combustion est transformée en énergie interne de la vapeur,
puis en énergie mécanique et seulement ensuite, dans le générateur, en enérgie électrique. Et à chaque phase il y a
des pertes d'énergie.
2. Mais on pourrait réduire le nombre de ces phases et donc les pertes. La loi d'induction électromagnétique de
Faraday dit qu'une différence de potentiels électriques apparaît dans le conducteur qui se met à travers du champ
magnétique, et si le circuit extérieur est bouclé du courant électrique y passera. La loi ne limite pas le choix du
conducteur. L'enroulement classique de l’armature du générateur peut être remplacé par un jet de métal liquide ou
un courant de plasma, pourvu que le milieu en mouvement possède une conductibilité électrique.
3. C'est cette idée qui se trouve à la base du générateur MHD qui permet d'utiliser le courant de gaz
électroconducteur chauffé à 2500-3000 degrés. Les centrales avec générateurs MHD peuvent atteindre un taux de
rendement de 50% et plus tard jusqu'à 60%.