Основы стилистического анализа художественного текста. Полянчук О.Б - 17 стр.

UptoLike

Рубрика: 

17
« Nanon s’é tait laissé mettre au cou un collier garni de pointes
dont les piqûres ne la piquaient plus » (Balzac).
Mé tonymie.
La métonymie ainsi que la métaphore est un des moyens de
lenrichissement de la langue.
La métonymie est un changement ou un développement de sens qui
a à la base un rapport de contiguïté. Les rapports de la métonymie sont
etrêmement variés :
1. le rapport entre le producteur et le produit (un
dé licieux Corot, cest-à-dire un tableau de Corot) ;
2. le rapport entre la matière et larticle (les poches
pleines dor) :
3. le rapport entre le contenant et le contenu (la ville
sest ré volté e, cest-à-dire les habitants de cette ville) ;
4. le rapport entre le tout et la partie (une mauvaise
langue, cest-à-dire un homme méchant ; une barbe grise, cest-à-dire un
vieillard) ;
5. le rapport entre le concret et labstrait (une jeunesse,
cest-à-dire une jeune personne).
Comme procédé stylistique la métonymie joue un rôle assez
restreint. Pour la plupart, les écrivains ont recours à la métonymie qui est
déjà entrée dans la langue, comme dans les exemples suivants :
« Toute la ville lenviait à M. et Mme Grandet »
(Balzac).
Dans lexemple ci-dessous Daudet emploie une métonymie
intéressante :
           « Nanon s’é tait laissé mettre au cou un collier garni de pointes
     dont les piqûres ne la piquaient plus » (Balzac).


                                           Mé tonymie.


           La métonymie ainsi que la métaphore est un des moyens de
     l’enrichissement de la langue.
           La métonymie est un changement ou un développement de sens qui
     a à la base un rapport de contiguïté. Les rapports de la métonymie sont
     etrêmement variés :
1.                          le rapport entre le producteur et le produit (un
     dé licieux Corot, c’est-à-dire un tableau de Corot) ;
2.                          le rapport entre la matière et l’article (les poches
     pleines d’or) :
3.                          le rapport entre le contenant et le contenu (la ville
     s’est ré volté e, c’est-à -dire les habitants de cette ville) ;
4.                          le rapport entre le tout et la partie (une mauvaise
     langue, c’est-à-dire un homme méchant ; une barbe grise, c’est-à-dire un
     vieillard) ;
5.                          le rapport entre le concret et l’abstrait (une jeunesse,
     c’est-à-dire une jeune personne).


           Comme procédé stylistique la métonymie joue un rô le assez
     restreint. Pour la plupart, les écrivains ont recours à la métonymie qui est
     déjà entrée dans la langue, comme dans les exemples suivants :
           « Toute la ville l’enviait à M. et Mme Grandet »
                                                                          (Balzac).
           Dans l’exemple ci-dessous Daudet emploie une métonymie
     intéressante :

                                               17