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La comparaison consiste à marquer la ressemlance qui existe entre
deux êtres, deux objets, ou entre un être et un objet.
Les deux termes de la comparaison peuvent être liés : par des
conjonctions et des locutions conjonctives telles que : comme (marque la
ressemblance) ; plus que (degré supérieur) ; ainsi que, autant que
(l’é galité) ;
par des verbes : ressembler, tenir de, ê tre ;
par des adjectifs : semblable , pareil, mê me, tel ;
par des pré positions : avec, en, de ;
par le conditionnel des verbes qui expriment le jugement : on
dirait, on eût dit.
Les comparaisons peuvent être simples et dé veloppé es.
Ainsi Balzsc emploie une comparaison simple et banale au premier
abord, mais qui, prise dans tout le contexte, acquiert un sens très
profond :
« La nécessité rendit cette pauvre fille si avare, que Grandet avait
fini par l’aimer comme on aime un chien » (Balzac).
V.Hugo, voulant caractériser le bavardage des gens nuls, a créé une
comparaison développée et originale :
« Leur conversation, causerie dans le salon, bavardage dans
l’antichambre, est comme ces cheminé es qui usent vite le bois ; il leur
faut beaucoup de combustible, et le combustible, c’est le prochain »
(Hugo).
Les écrivains ont largement recours à ce procédé stylistique qui
permet d’approfondir la description, de peindre avec plus d’é clat le
physique et les traits typiques d’un personnage.
La comparaison consiste à marquer la ressemlance qui existe entre deux êtres, deux objets, ou entre un être et un objet. Les deux termes de la comparaison peuvent être liés : par des conjonctions et des locutions conjonctives telles que : comme (marque la ressemblance) ; plus que (degré supérieur) ; ainsi que, autant que (l’égalité) ; par des verbes : ressembler, tenir de, ê tre ; par des adjectifs : semblable , pareil, mê me, tel ; par des pré positions : avec, en, de ; par le conditionnel des verbes qui expriment le jugement : on dirait, on eût dit. Les comparaisons peuvent être simples et dé veloppé es. Ainsi Balzsc emploie une comparaison simple et banale au premier abord, mais qui, prise dans tout le contexte, acquiert un sens très profond : « La né cessité rendit cette pauvre fille si avare, que Grandet avait fini par l’aimer comme on aime un chien » (Balzac). V.Hugo, voulant caractériser le bavardage des gens nuls, a créé une comparaison développée et originale : « Leur conversation, causerie dans le salon, bavardage dans l’antichambre, est comme ces cheminé es qui usent vite le bois ; il leur faut beaucoup de combustible, et le combustible, c’est le prochain » (Hugo). Les écrivains ont largement recours à ce procédé stylistique qui permet d’approfondir la description, de peindre avec plus d’éclat le physique et les traits typiques d’un personnage. 15
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