Основы стилистического анализа художественного текста. Полянчук О.Б - 14 стр.

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L’é pithète peut être exprimée par un adjectif (un regard farouche
Mérimée), un substantif (la démarche doiseau Flaubert), un participe
(le peuple douvriers besognant et souffrant Zolà).
L’é pithète peut être développée comme dans lexemple suivant où
cette épithète exprimée par un substantif avec une préposition et un
adjectif est suivie encore de deux épithètes :
« Une tê te doiseau ridé , solennelle et bê te » (Daudet).
Une épithète développée peut être exprimée par une proposition
subordonnée ou par un participe :
« -Oh ! Le beau Daumier, me dit-il tout bas, et du coin de son petit
œ il gris allumé subitement comme l’œ il dun chien de chasse, il me
montrait... » (Daudet).
L’é pithète peut être métaphorique, cest-à-dire elle confère à lobjet
les qualités dun autre objet ou dun être vivant :
vigoureuse une probité vigoureuse (Balzac),
robuste un robuste courage (Balzac).
L’é pithète peut être antonymique, si elle souligne la contradiction
entre la qualité soulignée et lobjet ou l’ê tre auxquel elle se rapporte :
lobscure clarté (Mé rimé e).
L’é pithète peut être hyperbolique dans ce cas l’é pithète exagère la
qualité ou la valeur dun objet ou dun phénomène :
une passion terrible (Stendhal)
un nez infini (Stendhal)
un effroi mortel (Balzac).
Les épithètes représentent une source inépuisable de procédés
expressifs. Crâce aux épithètes les écrivains créent de nouveaux
groupements de mots, renouvellent la langue nationale.
Comparaison.
      L’épithète peut être exprimée par un adjectif (un regard farouche –
Mérimée), un substantif (la dé marche d’oiseau – Flaubert), un participe
(le peuple d’ouvriers besognant et souffrant – Zolà).
      L’épithète peut être développée comme dans l’exemple suivant où
cette épithète exprimée par un substantif avec une préposition et un
adjectif est suivie encore de deux épithètes :
      « Une tê te d’oiseau ridé , solennelle et bê te » (Daudet).
      Une épithète développée peut être exprimée par une proposition
subordonnée ou par un participe :
      « -Oh ! Le beau Daumier, me dit-il tout bas, et du coin de son petit
œ il gris allumé subitement comme l’œ il d’un chien de chasse, il me
montrait... » (Daudet).
      L’épithète peut être métaphorique, c’est-à-dire elle confère à l’objet
les qualités d’un autre objet ou d’un être vivant :
      vigoureuse – une probité vigoureuse (Balzac),
      robuste – un robuste courage (Balzac).
      L’épithète peut être antonymique, si elle souligne la contradiction
entre la qualité soulignée et l’objet ou l’être auxquel elle se rapporte :
      l’obscure clarté (Mé rimé e).
      L’épithète peut être hyperbolique – dans ce cas l’épithète exagère la
qualité ou la valeur d’un objet ou d’un phénomène :
      une passion terrible (Stendhal)
      un nez infini (Stendhal)
      un effroi mortel (Balzac).
      Les épithètes représentent une source inépuisable de procédés
expressifs. Crâce aux épithètes les écrivains créent de nouveaux
groupements de mots, renouvellent la langue nationale.


                                   Comparaison.

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