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Tu as peur que je t’aie trompé, que je t’aie fait revenir et que tu ne sois pas
libre comme tu l’espérais.
(Martin du Gard)
Mme Chębe savait, que si Sidonie avait pu venir, elle l’aurait fait encore
hier.
(Zola)
Que
introduit d’habitude le discours indirect. Ces subordonnées peuvent se
rapporter aux verbes impersonnels.
Il sembla qu’une distance se fűt brusquement établie entre eux.
Les verbes de la principale auxquels se rapporte la subordonnée peuvent
exprimer:
a) une déclaration (dire, déclarer, affirmer, annoncer, assurer, prétendre,etc.);
b) une opinion (juger, estimer, reconnaître, trouver, trouver bon, etc.)
;
c) un acte de pensée, (croire, penser, doub
ler, se douter, s’imaginer, se
rappeler, se souvenir, se rendre compte, etc.);
d) un sentiment (se réjouir, ętre content
etc., avoir peur, craindre, etc.);
f) une volonté (demander, ordonner, désirer, souhaiter, vouloir, permettre,
défendre,
etc.).
Les points de syntaxe les plus importants pour l’emploi correct des
propositions complétives sont: a) le choix du mode et b) l’observation de la
concordance des temps.
2. La conjonction si
, les pronoms qui, lequel, laquelle, etc., les locutions
pronominales ce que, ce qui
, les adverbes interrogatifs oů, quand, pourquoi,
comment, combien,
l’adjectif interrogatif quel, lorsque la subordonnée
comprend une question indirecte.
Il se demandait, s’il devait rester plus longtemps.
Il voulait savoir qui était venu en son absence.
Dites franchement lequel de ces livres vous voudriez avoir.
Je voudrais savoir ce qui a été décidé ŕ la réunion.
Il fallait qu’elle racontât
d’oů elle était venue, quand elle était arrivée,
pourquoi ils ne l’avaient pas attendue, comment elle les avait trouvés.
Ex. 1
Traduisez les phrases suivantes. Justifiez l’emploi des modes et des
temps.
1. Nous ne savons rien, et nous voulons que vous contiez toute l’histoire
d’un bout ŕ l’autre (Mérimée). 2. Christophe cria plus fort que le piano était ŕ lui
et qu’il défendait qu’on y touchât (Rolland). 3. Annette, avertie de la
susceptibilité de Ruth, ne lui posait pas de questions, attendant qu’elle parlât. 4.
Tu as peur que je taie trompé, que je taie fait revenir et que tu ne sois pas libre comme tu lespérais. (Martin du Gard) Mme Chębe savait, que si Sidonie avait pu venir, elle laurait fait encore hier. (Zola) Que introduit dhabitude le discours indirect. Ces subordonnées peuvent se rapporter aux verbes impersonnels. Il sembla quune distance se fűt brusquement établie entre eux. Les verbes de la principale auxquels se rapporte la subordonnée peuvent exprimer: a) une déclaration (dire, déclarer, affirmer, annoncer, assurer, prétendre,etc.); b) une opinion (juger, estimer, reconnaître, trouver, trouver bon, etc.); c) un acte de pensée, (croire, penser, doubler, se douter, simaginer, se rappeler, se souvenir, se rendre compte, etc.); d) un sentiment (se réjouir, ętre content etc., avoir peur, craindre, etc.); f) une volonté (demander, ordonner, désirer, souhaiter, vouloir, permettre, défendre, etc.). Les points de syntaxe les plus importants pour lemploi correct des propositions complétives sont: a) le choix du mode et b) lobservation de la concordance des temps. 2. La conjonction si, les pronoms qui, lequel, laquelle, etc., les locutions pronominales ce que, ce qui, les adverbes interrogatifs oů, quand, pourquoi, comment, combien, ladjectif interrogatif quel, lorsque la subordonnée comprend une question indirecte. Il se demandait, sil devait rester plus longtemps. Il voulait savoir qui était venu en son absence. Dites franchement lequel de ces livres vous voudriez avoir. Je voudrais savoir ce qui a été décidé ŕ la réunion. Il fallait quelle racontât doů elle était venue, quand elle était arrivée, pourquoi ils ne lavaient pas attendue, comment elle les avait trouvés. Ex. 1 Traduisez les phrases suivantes. Justifiez lemploi des modes et des temps. 1. Nous ne savons rien, et nous voulons que vous contiez toute lhistoire dun bout ŕ lautre (Mérimée). 2. Christophe cria plus fort que le piano était ŕ lui et quil défendait quon y touchât (Rolland). 3. Annette, avertie de la susceptibilité de Ruth, ne lui posait pas de questions, attendant quelle parlât. 4. 18
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