Syntaxe d'une phrase complexe dans la langue francaise. Cинтаксис сложного предложения во французском языке. Абрамова И.Ф. - 21 стр.

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Il trouvait naturel qu’on se moquât de lui, naturel qu’elle ne l’aimât point,
naturel qu’elle se fűt marriée et qu’elle fűt heureuse avec un autre (Rolland). 5.
Mon ami, dit ma mčre, ne craignez- vous pas que, parmi ces enfants, il n’y en ait
de mauvais? 6. Il prétend que vous avez suivi son conseil. Il prétend que vous
lui obéissiez. 7. Je suppose que vous ętes venu ŕ bout de ces difficultés. Je
suppose qu’il ne revienne jamais. 8. J’entends que vous ne voulez pas me dire
tout. J’entends que vous le fassiez sans tarder. 9. Prenez garde que vous vous
adresser ŕ un enfant. Prenez garde qu’on ne vous aperçoive. 10. J’admets que
vous n’avez pas aimé ce film. Tu n’admets pas qu’il en soit ainsi. Admettez
qu’elle ait pu se tromper.
Les verbes douter
et nier męme employés ŕ la forme négative sont suivis du
subjonctif. Ne confondez pas le verbe douter
et se douter, aprčs le dernier on
met l’indicatif ou le conditionnel. Les verbes de pensée ou de croyance
n’amčnent le subjonctif qu’étant employés ŕ la forme négative ou interrogative.
Vous me dites qu’elle souffre,
madame, mais croyez-vous qu’elle ait rien de
meilleur ŕ attendre de sa destinée que cette souffrance?
(Mauriac)
Je ne crois pas que ce silence ait dépassé quelques secondes.
(Vercors)
Elle n’imaginait pas qu’une passion ardente et douloureuse pűt tourmenter
cet homme.
(Maurois)
Mme Risler ne se doutait pas qu’il y avait lŕ
, ŕ cette fenętre du rez-de-
chaussée, un ennemi de tous les instants qui guettait ses moindres actions.
(Daudet)
Ex. 2
Mettez le verbe de la subordonnée complétive ŕ la forme qui convient et
motivez votre choix.
1. Enfin il parla de sa valise, priant fort qu’on en (avoir) grand soin qu’on la
(mettre) au chevet de son lit (Courier). 2. Un capitaine nous apprit que notre
oncle (louer) une grande boutique et qu’il (faire) un commerce important
(Maupassant). 3. On devait craindre jusqu’ŕ la derničre minute que le docteur ne
(ętre) appelé auprčs d’un malade (France). 4. Je crus que, le jour de la
représentation, le soleil ne (se coucher) jamais! (France). 5. Angélique
n’approuvait pas que M. Bergeret (manquer) aux traditions, qu ’il (se décharger)
Il trouvait naturel qu’on se moquât de lui, naturel qu’elle ne l’aimât point,
naturel qu’elle se fűt marriée et qu’elle fűt heureuse avec un autre (Rolland). 5.
Mon ami, dit ma mčre, ne craignez- vous pas que, parmi ces enfants, il n’y en ait
de mauvais? 6. Il prétend que vous avez suivi son conseil. Il prétend que vous
lui obéissiez. 7. Je suppose que vous ętes venu ŕ bout de ces difficultés. Je
suppose qu’il ne revienne jamais. 8. J’entends que vous ne voulez pas me dire
tout. J’entends que vous le fassiez sans tarder. 9. Prenez garde que vous vous
adresser ŕ un enfant. Prenez garde qu’on ne vous aperçoive. 10. J’admets que
vous n’avez pas aimé ce film. Tu n’admets pas qu’il en soit ainsi. Admettez
qu’elle ait pu se tromper.
    Les verbes douter et nier męme employés ŕ la forme négative sont suivis du
subjonctif. Ne confondez pas le verbe douter et se douter, aprčs le dernier on
met l’indicatif ou le conditionnel. Les verbes de pensée ou de croyance
n’amčnent le subjonctif qu’étant employés ŕ la forme négative ou interrogative.

   Vous me dites qu’elle souffre, madame, mais croyez-vous qu’elle ait rien de
meilleur ŕ attendre de sa destinée que cette souffrance?
                                                                   (Mauriac)

   Je ne crois pas que ce silence ait dépassé quelques secondes.
                                                                          (Vercors)

    Elle n’imaginait pas qu’une passion ardente et douloureuse pűt tourmenter
cet homme.
                                                                    (Maurois)

   Mme Risler ne se doutait pas qu’il y avait lŕ, ŕ cette fenętre du rez-de-
chaussée, un ennemi de tous les instants qui guettait ses moindres actions.
                                                                        (Daudet)

    Ex. 2
    Mettez le verbe de la subordonnée complétive ŕ la forme qui convient et
motivez votre choix.
    1. Enfin il parla de sa valise, priant fort qu’on en (avoir) grand soin qu’on la
(mettre) au chevet de son lit (Courier). 2. Un capitaine nous apprit que notre
oncle (louer) une grande boutique et qu’il (faire) un commerce important
(Maupassant). 3. On devait craindre jusqu’ŕ la derničre minute que le docteur ne
(ętre) appelé auprčs d’un malade (France). 4. Je crus que, le jour de la
représentation, le soleil ne (se coucher) jamais! (France). 5. Angélique
n’approuvait pas que M. Bergeret (manquer) aux traditions, qu ’il (se décharger)
                                                                                 19