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épreuves (Martin du Gard). 7. Ils étaient trop dissemblables, lui et Armandine, il
suffisait qu’elle pensât d’une façon pour qu’il se portât ŕ une décision inverse
(Aragon). 8. Les ressources de génie de Stendhal sont telles qu’il peut multiplier
indéfiniment les scčnes entre Julien et Mathilde sans que nous ayons jamais
l’impression non seulement d’une redite, mais męme d’une monotonie. Chaque
scčne a une présence si impérieuse qu’il semble toujours qu’elle soit la premičre
(Du Bos). 9. Elle était trop loyale pour ne pas reconnaître la justesse de ce
reproche. Au point que, ŕ cette minute, elle eűt été soulagée de pouvoir s’accuser
ŕ son tour (Martin du Grard). 10. Elle parut s’étonner quand j’insistai pour que
Robert gardât sa place pendant quelques semaines (Mauriac). 11. Elle le
regardait de ses prunelles fixes, sans broncher, au point qu’il se demanda si elle
entendait ses paroles ou si elle suivait son monologue intérieur (Simenon).12. Il
s’avança sur le trottoir de son ancienne maison, longeant les façades, de façon
qu’on ne pűt le voir d’une fenętre si quelqu’un, comme tout ŕ l’heure, y eűt été
posté (Hériat). 13. Est-ce que les causes du conflit ne sont pas en effet devenues
telles qu’il soit trčs difficile de les éliminer pacifiquement? (Romains). 14. A la
nuit, nous quittons le port, avec notre maigre paie, pour nous jeter sur la
nourriture, sur l’alcool, fourbus, englués de crasse, le cerveau vide, assomés de
fatigue au point d’ętre sans révolte (Martin du Gard). 15. Jaurčs avait dit ŕ
Stéfany: «La note autrichienne est effroyablement dure. A se demander si
Vienne n’a pas voulu, en brusquent l’attaque, rendre impossible toute action
préventive des puissances» (Martin du Gard). 16. Il n’était pas si sot que de ne
pas prévoir la lutte (Vercors). 17. Machinalement, avec le plus grand sérieux,
Maigret arrangeait les pipes sur son buvard de façon ŕ tracer des figures plus ou
moins géométriques, ou ŕ rappeler tel ou tel animal (Simenon).
Ex. 2
Introduisez les subordonnées de conséquence par la locution conjonctive
nécessaire:
1. La neige tombait … épaisse … on y voyait tout juste ŕ dix pas
(Maupassant). 2. Le cerveau du malade était …affaibli …il prît conscience de ce
qui se passait avec difficulté (Martin du Gard). 3. Il avançait peu ŕ peu, en
parlant, poussant Jacques devant lui, … ils se trouvčrent bientôt prčs d’une des
fenętres, seuls (Martin du Gard). 4. J’ai …songé ŕ elle…. j’ai fini par
comprendre: cette fille-lŕ, c’est Manon Lescaut revenue (Maupassant). 5. Nous
fűmes …stupéfaits …nous ne pouvions dire un mot (Maupassant). 6. Son pčre
croyait qu’il couchait chez un camarade: et Jean payait sa chambre du prix de
son déjeuner, …il ne déjeunait plus jamais (Aragon). 7. La chute d’Ursus était
…longue et …large …il pűt s’y coucher sur un coffre oů étaient ses hardes
(Hugo). 8. Elle était loyale…, ŕ cette minute, elle eűt été soulagée de pouvoir
s’accuser ŕ son tour (Martin du Gard). 9. Elles n’avaient presque rien chez elles,
épreuves (Martin du Gard). 7. Ils étaient trop dissemblables, lui et Armandine, il suffisait quelle pensât dune façon pour quil se portât ŕ une décision inverse (Aragon). 8. Les ressources de génie de Stendhal sont telles quil peut multiplier indéfiniment les scčnes entre Julien et Mathilde sans que nous ayons jamais limpression non seulement dune redite, mais męme dune monotonie. Chaque scčne a une présence si impérieuse quil semble toujours quelle soit la premičre (Du Bos). 9. Elle était trop loyale pour ne pas reconnaître la justesse de ce reproche. Au point que, ŕ cette minute, elle eűt été soulagée de pouvoir saccuser ŕ son tour (Martin du Grard). 10. Elle parut sétonner quand jinsistai pour que Robert gardât sa place pendant quelques semaines (Mauriac). 11. Elle le regardait de ses prunelles fixes, sans broncher, au point quil se demanda si elle entendait ses paroles ou si elle suivait son monologue intérieur (Simenon).12. Il savança sur le trottoir de son ancienne maison, longeant les façades, de façon quon ne pűt le voir dune fenętre si quelquun, comme tout ŕ lheure, y eűt été posté (Hériat). 13. Est-ce que les causes du conflit ne sont pas en effet devenues telles quil soit trčs difficile de les éliminer pacifiquement? (Romains). 14. A la nuit, nous quittons le port, avec notre maigre paie, pour nous jeter sur la nourriture, sur lalcool, fourbus, englués de crasse, le cerveau vide, assomés de fatigue au point dętre sans révolte (Martin du Gard). 15. Jaurčs avait dit ŕ Stéfany: «La note autrichienne est effroyablement dure. A se demander si Vienne na pas voulu, en brusquent lattaque, rendre impossible toute action préventive des puissances» (Martin du Gard). 16. Il nétait pas si sot que de ne pas prévoir la lutte (Vercors). 17. Machinalement, avec le plus grand sérieux, Maigret arrangeait les pipes sur son buvard de façon ŕ tracer des figures plus ou moins géométriques, ou ŕ rappeler tel ou tel animal (Simenon). Ex. 2 Introduisez les subordonnées de conséquence par la locution conjonctive nécessaire: 1. La neige tombait épaisse on y voyait tout juste ŕ dix pas (Maupassant). 2. Le cerveau du malade était affaibli il prît conscience de ce qui se passait avec difficulté (Martin du Gard). 3. Il avançait peu ŕ peu, en parlant, poussant Jacques devant lui, ils se trouvčrent bientôt prčs dune des fenętres, seuls (Martin du Gard). 4. Jai songé ŕ elle . jai fini par comprendre: cette fille-lŕ, cest Manon Lescaut revenue (Maupassant). 5. Nous fűmes stupéfaits nous ne pouvions dire un mot (Maupassant). 6. Son pčre croyait quil couchait chez un camarade: et Jean payait sa chambre du prix de son déjeuner, il ne déjeunait plus jamais (Aragon). 7. La chute dUrsus était longue et large il pűt sy coucher sur un coffre oů étaient ses hardes (Hugo). 8. Elle était loyale , ŕ cette minute, elle eűt été soulagée de pouvoir saccuser ŕ son tour (Martin du Gard). 9. Elles navaient presque rien chez elles, 56
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