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mes lunettes, j’enfonce mes coudes et mes genous dans une épaisse pâte
humaine…Mais j’avance, ŕ n’en pas douter, j’avance, je suis porté de couloir en
couloir et, tout d’un coup, l’air, humide et chaud, l’air du dehors, le trottoir gras,
une foule qui fuse et prend la course.
(D’aprčs G. Duhamel, «Journal de Salavin»)
Ex. 2
Analysez les propositions juxtaposées qui suivent. Dites quel rapport de
sens existe entre ces propositions.
I. On n’avait pas eu besoin de lui dire qu’elle était trčs belle, il y avait des
miroirs dans l’appartement d’Auteul (Aragon). 2. Lui faisais-je une réponse
exacte, trouvait-il dans mes devoirs une bonne expression, aussitôt son visage
trahissait une vive contrariété et ses lčvres tremblaient de colčre (France). 3.
Cependant, il fallait commencer: le public s’impatientait. 4. Le petit ne
comprenait pas. Il resta pensif. 5. Il faisait beau, le ciel bleu s’étendait sur la
ville qui semblait sourire (Maupassant). 6. On attend. On se fatigue d’ętre assis:
on se lčve (Barbusse). 7. Ils étaient partis trop tard, ils n’arrivčrent au village
qu’ŕ la nuit close. 8. L’herbe est chaude, l’air est chaud, le roseau que Paule
serre dans sa main est chaud (Vaillant-Couturier). 9. Elle rentra dans la maison,
monta jusqu’ŕ sa chambre (Sagan). 10. Maigret paya ses consommations, James
les siennes (Simenon). 11. Sur le carreau, glissčrent des pas mous: un élčve
dévisagea Antoine et passa (Martin du Gard). 12. Le repas fut silencieux: nous
étions mouillés, nous avions faim. 13. Aucun bruit ne montait de la rue: on se
serait cru dans la campagne (Martin du Gard). 14. Quand il m’arrive de passer
par lŕ, je n’ose plus entrer: j’ai le cśur serré. 15. Cette maison datait du XVIII-e
sičcle, elle était trčs vieille. 16. Antoine dominait bien son émotion, le métier
l’avait dressé: plus il rassemblait son énergie, plus il devenait insensible et
lucide (Martin du Gard). 17. L’entresol s’était entičrement dépeuplé: les joueurs
avaient été dîné, l’orchestre s’était tu (Martin du Gard). 18. …Emma se mit ŕ
fuir vers sa chambre, tout épouvantée. Charles y était, elle l’aperçut, il lui parla,
elle n’entendit rien…(Flaubert). 19. Leur amitié fut courte autant qu’elle était
rare. / Le sang les avait joints, l’intéręt les sépare (La Fontaine). 20. Le respect
et l’effroit lui fermaient la bouche: il gardait le silence. 21. Il savait votre
dessein, jugez de ses alarmes (Racine). 22. Annonçait-on, dans un journal, le
dégel? Ma mčre haussait les épaules (Colette). 23. L’homme ne criait, il ne
faisait aucun geste menaçant, il ne pouvait ętre dangereux. 24. Un orage
s’amassait. Dans leur colčre ils ne le virent pas venir (Rolland). 25. J’étais brisé
de fatigue. Je m’endormis presqu’aussitôt. 26. La pęche rapporte peu: les
pęcheurs sont pauvres, presque miséreux. 27. Les caprices et les erreurs du
langage sont innombrables. Les savants voient le mal, ils n’y peuvent remédier
(France). 28. Il pouvait ŕ peine se voir dans la glace, le jour était sombre. 29. On
mes lunettes, jenfonce mes coudes et mes genous dans une épaisse pâte humaine Mais javance, ŕ nen pas douter, javance, je suis porté de couloir en couloir et, tout dun coup, lair, humide et chaud, lair du dehors, le trottoir gras, une foule qui fuse et prend la course. (Daprčs G. Duhamel, «Journal de Salavin») Ex. 2 Analysez les propositions juxtaposées qui suivent. Dites quel rapport de sens existe entre ces propositions. I. On navait pas eu besoin de lui dire quelle était trčs belle, il y avait des miroirs dans lappartement dAuteul (Aragon). 2. Lui faisais-je une réponse exacte, trouvait-il dans mes devoirs une bonne expression, aussitôt son visage trahissait une vive contrariété et ses lčvres tremblaient de colčre (France). 3. Cependant, il fallait commencer: le public simpatientait. 4. Le petit ne comprenait pas. Il resta pensif. 5. Il faisait beau, le ciel bleu sétendait sur la ville qui semblait sourire (Maupassant). 6. On attend. On se fatigue dętre assis: on se lčve (Barbusse). 7. Ils étaient partis trop tard, ils narrivčrent au village quŕ la nuit close. 8. Lherbe est chaude, lair est chaud, le roseau que Paule serre dans sa main est chaud (Vaillant-Couturier). 9. Elle rentra dans la maison, monta jusquŕ sa chambre (Sagan). 10. Maigret paya ses consommations, James les siennes (Simenon). 11. Sur le carreau, glissčrent des pas mous: un élčve dévisagea Antoine et passa (Martin du Gard). 12. Le repas fut silencieux: nous étions mouillés, nous avions faim. 13. Aucun bruit ne montait de la rue: on se serait cru dans la campagne (Martin du Gard). 14. Quand il marrive de passer par lŕ, je nose plus entrer: jai le cśur serré. 15. Cette maison datait du XVIII-e sičcle, elle était trčs vieille. 16. Antoine dominait bien son émotion, le métier lavait dressé: plus il rassemblait son énergie, plus il devenait insensible et lucide (Martin du Gard). 17. Lentresol sétait entičrement dépeuplé: les joueurs avaient été dîné, lorchestre sétait tu (Martin du Gard). 18. Emma se mit ŕ fuir vers sa chambre, tout épouvantée. Charles y était, elle laperçut, il lui parla, elle nentendit rien (Flaubert). 19. Leur amitié fut courte autant quelle était rare. / Le sang les avait joints, lintéręt les sépare (La Fontaine). 20. Le respect et leffroit lui fermaient la bouche: il gardait le silence. 21. Il savait votre dessein, jugez de ses alarmes (Racine). 22. Annonçait-on, dans un journal, le dégel? Ma mčre haussait les épaules (Colette). 23. Lhomme ne criait, il ne faisait aucun geste menaçant, il ne pouvait ętre dangereux. 24. Un orage samassait. Dans leur colčre ils ne le virent pas venir (Rolland). 25. Jétais brisé de fatigue. Je mendormis presquaussitôt. 26. La pęche rapporte peu: les pęcheurs sont pauvres, presque miséreux. 27. Les caprices et les erreurs du langage sont innombrables. Les savants voient le mal, ils ny peuvent remédier (France). 28. Il pouvait ŕ peine se voir dans la glace, le jour était sombre. 29. On 5
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