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IX s. XIII s.
in ün in ün
en on en on
an an <en, an
Vers le XIII s. (fin du siècle), le système devient plus symétrique. Il y a
quatre oppositions.
a) Les voyelles ouvertes s’opposent aux voyelles fermées.
b) Les voyelles postérieures s’opposent aux voyelles antérieures.
c) Les voyelles arrondies s’opposent aux voyelles non-arrondies.
d) Les voyelles brèves s’opposent aux voyelles longues. La longueur
et la brièveté de la voyelle sont conditionnées par son origine.
Pendant les XIV—XV ss. le système de monophtongues se conserve, parmi
les variantes nasalisées il y a une confusion de ‘en’ et ‘in’ qui donnent ‘en’.
Pendant les XVI—XVII se forme le système vocalique du français
moderne, qui est beaucoup plus symétrique que celui précédant.
iüu eöõ
eö o ã
ę ö o
a α
Voyelles orales Voyelles nasales
(ðîòîâûå)
3.6. L’évolution des diphtongues. En dehors des voyelles simples l’afr.
possède une riche série de diphtongues et triphtongues dont le nombre varie
à l’époque. La plupart des diphtongues sont descendantes (décroissantes —
íèñõîäÿùèå): ái, éi, ói, ýi, áu, éu, óu. Il y en a encore deux diphtongues
ascendantes (croissantes — âîñõîäÿùèå): ié, uó > ué. Les triphtongues sont
au nombre de trois: eáu, iéu, uéu.
Cette opinion sur les diphtongues, que nous venons d’exposer, est
acceptée par tous les linguistes.
La langue continue à développer la tendance à la diphtongaison qui est
commencée en latin populaire et en gallo-roman. La première et la deuxième
diphtongaison consiste en allongement et dédoublement des voyelles accentuées.
La première diphtongaison a eu lieu au VI s. Les voyelles e,o accentuées
libres deviennent diphtongues spontannées ascendantes. P. ex. lat. pop. péde
>VI s. piede; lat.pop. mele > VI s. miel; lat.pop. bove > VI s. buef.
La deuxième diphtongaison a eu lieu au VII s. Les voyelles e,o
accentuées libres deviennent diphtongues spontannées descendantes. P. ex.
lat. tela > VII s. téila; lat. flore > VII s. fléur.
IX s. XIII s. in ün in ün en on en on an anué. Les triphtongues sont au nombre de trois: eáu, iéu, uéu. Cette opinion sur les diphtongues, que nous venons d’exposer, est acceptée par tous les linguistes. La langue continue à développer la tendance à la diphtongaison qui est commencée en latin populaire et en gallo-roman. La première et la deuxième diphtongaison consiste en allongement et dédoublement des voyelles accentuées. La première diphtongaison a eu lieu au VI s. Les voyelles e,o accentuées libres deviennent diphtongues spontannées ascendantes. P. ex. lat. pop. péde >VI s. piede; lat.pop. mele > VI s. miel; lat.pop. bove > VI s. buef. La deuxième diphtongaison a eu lieu au VII s. Les voyelles e,o accentuées libres deviennent diphtongues spontannées descendantes. P. ex. lat. tela > VII s. téila; lat. flore > VII s. fléur. 16
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