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c.s. qui (ki, qi)
c.r.dir. que (quet)
c.r.indir. cui
Le neutre possède deux formes: atone que et tonique quoi, il est
indéclinable. Dès ses origines le français fait une forme spéciale pour le
complément du nom: de + unde > dont. En tant que pronoms interrogatifs on
emploie les relatifs, sauf dont et que.
5.5. Verbe. Tendances de l’évolution. Le verbe conserve mieux que le
nom le caractère synthétique bien qu’il fait une large place à l’analyse.
Les formes synthétiques latines sont doublées en afr. de formations
analytiques à toutes les cathégories grammaticales: temps, mode, voix, aspect.
A la suite des modifications phonétiques la structure morphologique du verbe
perd sa netteté et présente une grande variété de formes parfois vides de sens,
p.ex. l’alternance des radicaux.
5.5.1. Les formes non-personnelles sont l’infinitif, le participe présent,
le participe passé et le gérondif. Les infinitifs du premier groupe ont la
terminaison -er, -ier (porter, mangier), les infinitifs du deuxième groupe —
ceux en -ir (finir), du troisième groupe — les infinitifs en -eir (-oir), -re, -ir
(deveir, rendre, rire, venir). L’infinitif passé est une forme composée, p.ex.
aveir dit. Les fonctions syntaxiques de l’infinitif sont celles du français
moderne: ce sont le complément du verbe, le complément circonstanciel, le
complément du nom. L’infinitif se combine avec les verbes modaux et autres
qui le régissent en constituant avec lui le prédicat de la proposition.
P. ex. Mais la dolur ne pothent ublier (Rol.).
A la différence du français moderne l’infinitif comporte les caractéristiques
du nom héritées du latin: il se décline et reçoit l’article du masculin. Tout
infinitif peut se substantiver, mais ne reçoit guère de déterminant — adjectif.
P. ex. La buche mustre le penser.
Le participe présent a les mêmes catégories: le nombre et le cas et les
mêmes fonctions que les adjectifs à une forme pour les deux genres.
P. ex. Ja avez vos ambsdous les braz sanglanz (Rol.)
Ó âàñ îáîèõ óæå ðóêè â êðîâè.
En tant que forme verbale il se combine avec le verbe estre et traduit la
durée: la construction marque une action simultanée à une autre qui dure.
P. ex. Si l’orrat Carles qi est as porz passant (Rol.).
Òàê åãî óñëûøèò Êàðë, êîòîðûé ïðîõîäèò ïî óùåëüþ.
Le participe passé connaît le genre, le nombre et la déclinaison au
masculin (c.s. portez, c.r. portet). Il prend souvent un emploi adjectif: il sert
de déterminant et d’attribut.
c.s. qui (ki, qi) c.r.dir. que (quet) c.r.indir. cui Le neutre possède deux formes: atone que et tonique quoi, il est indéclinable. Dès ses origines le français fait une forme spéciale pour le complément du nom: de + unde > dont. En tant que pronoms interrogatifs on emploie les relatifs, sauf dont et que. 5.5. Verbe. Tendances de l’évolution. Le verbe conserve mieux que le nom le caractère synthétique bien qu’il fait une large place à l’analyse. Les formes synthétiques latines sont doublées en afr. de formations analytiques à toutes les cathégories grammaticales: temps, mode, voix, aspect. A la suite des modifications phonétiques la structure morphologique du verbe perd sa netteté et présente une grande variété de formes parfois vides de sens, p.ex. l’alternance des radicaux. 5.5.1. Les formes non-personnelles sont l’infinitif, le participe présent, le participe passé et le gérondif. Les infinitifs du premier groupe ont la terminaison -er, -ier (porter, mangier), les infinitifs du deuxième groupe — ceux en -ir (finir), du troisième groupe — les infinitifs en -eir (-oir), -re, -ir (deveir, rendre, rire, venir). L’infinitif passé est une forme composée, p.ex. aveir dit. Les fonctions syntaxiques de l’infinitif sont celles du français moderne: ce sont le complément du verbe, le complément circonstanciel, le complément du nom. L’infinitif se combine avec les verbes modaux et autres qui le régissent en constituant avec lui le prédicat de la proposition. P. ex. Mais la dolur ne pothent ublier (Rol.). A la différence du français moderne l’infinitif comporte les caractéristiques du nom héritées du latin: il se décline et reçoit l’article du masculin. Tout infinitif peut se substantiver, mais ne reçoit guère de déterminant — adjectif. P. ex. La buche mustre le penser. Le participe présent a les mêmes catégories: le nombre et le cas et les mêmes fonctions que les adjectifs à une forme pour les deux genres. P. ex. Ja avez vos ambsdous les braz sanglanz (Rol.) Ó âàñ îáîèõ óæå ðóêè â êðîâè. En tant que forme verbale il se combine avec le verbe estre et traduit la durée: la construction marque une action simultanée à une autre qui dure. P. ex. Si l’orrat Carles qi est as porz passant (Rol.). Òàê åãî óñëûøèò Êàðë, êîòîðûé ïðîõîäèò ïî óùåëüþ. Le participe passé connaît le genre, le nombre et la déclinaison au masculin (c.s. portez, c.r. portet). Il prend souvent un emploi adjectif: il sert de déterminant et d’attribut. 33
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