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Dubois, Meigret, Ramus, Estienne accordent quelques pages aux questions des styles
littéraires et aux moyens d’expression.
On pose la question sur l’état de la langue littéraire : « Comment doit être la
langue des gens appris? » On pose le problème des normes littéraires et la rhétorique
est considérée comme moyen d’apprentissage du bon style. La rhétorique se détache
de la philosophie. Ce lien réapparaît de nouveau au dix-huitième siècle.
Dans son oeuvre principal « Essais » (1580) Michel Eyquem de Montaigne
développent les pensées d’Aristote et de Quintilien. L’auteur des « Essais » se
prononce contre des procédés stylistiques artificiels : « Les riches et magnifiques
paroles » c’est ainsi que Montaigne appelle les tropes et les figures de la diction.
Montaigne veut que le style reflète la réalité : « tel sur le papier qu’en la bouche ». La
langue littéraire selon l’avis de l’auteur doit rapprocher le language parlé à la langue
écrite.
XVII –ème siècle
Le problème des normes stylistiques acquiert une acuité particulière et
intéresse les écrivains, les poètes et les théoriciens – linguistes.
Quelques pensées du poète lyrique François Malherbe et celles du
grammatiste Vaugelas présentent un vif intérêt pour les théoriciens de la linguistique.
François Malherbe est connu non seulement comme poète, mais comme un
théoricien dans le domaine du style. Malherbe exclut l’emploi des mots « simples »
dans l’art poétique, bien que les limites qui séparent la langue écrite du language
parlé, selon Malherbe, s’effassent.
On ne peut pas oublier le rôle principal de Malherbe dans la littérature
française : il ouvre la voie au classicisme. Vaugelas était son successeur.
Claude Favre de Vaugelas (1585-1650) essaie de créer le code du « bon
usage », du bon style, en indicant l’emploi correct de quelques formes et figures dans
la langue littéraire. Il publie son livre « Remarques sur la langue française » en
tâchant de trouver la langue « bien travaillée », « du bon usage » qui doit être parlée
par l’élite (« la façon de parler de la plus saine partie de la Cour ».
Vaugelas proteste contre la création des styles individuels des écrivains et leurs
moyens d’expression.
A cette époque la rhétorique fait partie de la grammaire. Il manque toujours
l’analyse dans la création des moyens d’expression.
Joachim Du Bellay (1522-1560) a publié son oeuvre « Défense et illustration
de la langue française ». L’auteur parle du crédo poétique de la Pléïade. Les poètes et
les écrivains ont un large choix libre des moyens d’expression pour la création des
procédés stylistiques. Du Bellay indique quatre moyens d’enrichissement du
vocabulaire : la création des néologismes, les emprunts du grec et du latin, les
emprunts des dialectes, l’emploi des archaïsmes et des mots vieillis.La Pléïade attire
attention aux sources de l’enrichissement des styles du language, à l’évolution du
vocabulaire de la langue.
Dubois, Meigret, Ramus, Estienne accordent quelques pages aux questions des styles
littéraires et aux moyens d’expression.
On pose la question sur l’état de la langue littéraire : « Comment doit être la
langue des gens appris? » On pose le problème des normes littéraires et la rhétorique
est considérée comme moyen d’apprentissage du bon style. La rhétorique se détache
de la philosophie. Ce lien réapparaît de nouveau au dix-huitième siècle.
Dans son oeuvre principal « Essais » (1580) Michel Eyquem de Montaigne
développent les pensées d’Aristote et de Quintilien. L’auteur des « Essais » se
prononce contre des procédés stylistiques artificiels : « Les riches et magnifiques
paroles » c’est ainsi que Montaigne appelle les tropes et les figures de la diction.
Montaigne veut que le style reflète la réalité : « tel sur le papier qu’en la bouche ». La
langue littéraire selon l’avis de l’auteur doit rapprocher le language parlé à la langue
écrite.
XVII –ème siècle
Le problème des normes stylistiques acquiert une acuité particulière et
intéresse les écrivains, les poètes et les théoriciens – linguistes.
Quelques pensées du poète lyrique François Malherbe et celles du
grammatiste Vaugelas présentent un vif intérêt pour les théoriciens de la linguistique.
François Malherbe est connu non seulement comme poète, mais comme un
théoricien dans le domaine du style. Malherbe exclut l’emploi des mots « simples »
dans l’art poétique, bien que les limites qui séparent la langue écrite du language
parlé, selon Malherbe, s’effassent.
On ne peut pas oublier le rôle principal de Malherbe dans la littérature
française : il ouvre la voie au classicisme. Vaugelas était son successeur.
Claude Favre de Vaugelas (1585-1650) essaie de créer le code du « bon
usage », du bon style, en indicant l’emploi correct de quelques formes et figures dans
la langue littéraire. Il publie son livre « Remarques sur la langue française » en
tâchant de trouver la langue « bien travaillée », « du bon usage » qui doit être parlée
par l’élite (« la façon de parler de la plus saine partie de la Cour ».
Vaugelas proteste contre la création des styles individuels des écrivains et leurs
moyens d’expression.
A cette époque la rhétorique fait partie de la grammaire. Il manque toujours
l’analyse dans la création des moyens d’expression.
Joachim Du Bellay (1522-1560) a publié son oeuvre « Défense et illustration
de la langue française ». L’auteur parle du crédo poétique de la Pléïade. Les poètes et
les écrivains ont un large choix libre des moyens d’expression pour la création des
procédés stylistiques. Du Bellay indique quatre moyens d’enrichissement du
vocabulaire : la création des néologismes, les emprunts du grec et du latin, les
emprunts des dialectes, l’emploi des archaïsmes et des mots vieillis.La Pléïade attire
attention aux sources de l’enrichissement des styles du language, à l’évolution du
vocabulaire de la langue.
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