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c) qui donne un bénéfice satisfaisant ;
d) relatif au traitement des maladies.
6. Trouvez les phrases avec les verbes au Conditionnel et traduisez-les en russe.
7. Relisez le texte en notant des mots-clés et résumez-le en vous servant de vos notes.
Employez dans votre résumé les articulateurs suivants :
maintenant, selon leurs plans, ainsi que, également, par conséquent, à part, ce qui compte.
2. Les médecins aimeraient pouvoir traiter plus de malades avec des protéines
dérivées du sang humain, lesquelles sont obtenues en quantités insuffisantes [à partir du
sang de donneurs]. La solution explorée par PPL Therapeutics : effectuer des
manipulations génétiques sur des moutons afin qu’ils fabriquent ces protéines dans leur
lait. L’entreprise possède déjà un cheptel de plus de 300 brebis dont chacune possède un
fragment de gène humain qui déclenche la fabrication d’une protéines humaine, nommée
AAT, dans leur lait. Chaque brebis produit entre 12 et 15 grammes d’AAT par litre de lait.
Pour PPL Therapeutics, la difficulté tient au fait qu’il a fallu plusieurs générations
pour constituer son cheptel producteur d’AAT. Le laboratoire n’a donc pu entreprendre les
tests cliniques qu’après avoir obtenu un nombre assez important de brebis susceptibles de
garantir un approvisionnement suffisant. La technologie du transfert nucléique permet de
créer tout un cheptel simultanément, en introduisant un noyau cellulaire identique dans un
grand nombre d’ovules. De plus, cette technologie permettrait d’utiliser des vaches. Leur
cycle d’allaitement est beaucoup plus long : elles produisent vingt fois plus de lait que les
brebis ! L’innovation scientifique devra donc aller plus loin. Se contenter de créer tout un
troupeau de Dolly ne présente aucun intérêt commercial. PPL Therapeutics et l’institut
Roslon veulent créer d’un seul coup un troupeau dont toutes les brebis possèdent le gène
humain qui fabrique les protéines humaines dans leur lait. Pour y parvenir, il suffit
d’implanter des gènes humains dans des cellules prélevées sur des embryons de moutons
(non adultes) avant de les introduire dans des ovules non fertilisés. Les premiers moutons
de ce type devraient bientôt naître.
QUESTIONS ET DEVOIRS
11 c) qui donne un bénéfice satisfaisant ; d) relatif au traitement des maladies. 6. Trouvez les phrases avec les verbes au Conditionnel et traduisez-les en russe. 7. Relisez le texte en notant des mots-clés et résumez-le en vous servant de vos notes. Employez dans votre résumé les articulateurs suivants : maintenant, selon leurs plans, ainsi que, également, par conséquent, à part, ce qui compte. 2. Les médecins aimeraient pouvoir traiter plus de malades avec des protéines dérivées du sang humain, lesquelles sont obtenues en quantités insuffisantes [à partir du sang de donneurs]. La solution explorée par PPL Therapeutics : effectuer des manipulations génétiques sur des moutons afin qu’ils fabriquent ces protéines dans leur lait. L’entreprise possède déjà un cheptel de plus de 300 brebis dont chacune possède un fragment de gène humain qui déclenche la fabrication d’une protéines humaine, nommée AAT, dans leur lait. Chaque brebis produit entre 12 et 15 grammes d’AAT par litre de lait. Pour PPL Therapeutics, la difficulté tient au fait qu’il a fallu plusieurs générations pour constituer son cheptel producteur d’AAT. Le laboratoire n’a donc pu entreprendre les tests cliniques qu’après avoir obtenu un nombre assez important de brebis susceptibles de garantir un approvisionnement suffisant. La technologie du transfert nucléique permet de créer tout un cheptel simultanément, en introduisant un noyau cellulaire identique dans un grand nombre d’ovules. De plus, cette technologie permettrait d’utiliser des vaches. Leur cycle d’allaitement est beaucoup plus long : elles produisent vingt fois plus de lait que les brebis ! L’innovation scientifique devra donc aller plus loin. Se contenter de créer tout un troupeau de Dolly ne présente aucun intérêt commercial. PPL Therapeutics et l’institut Roslon veulent créer d’un seul coup un troupeau dont toutes les brebis possèdent le gène humain qui fabrique les protéines humaines dans leur lait. Pour y parvenir, il suffit d’implanter des gènes humains dans des cellules prélevées sur des embryons de moutons (non adultes) avant de les introduire dans des ovules non fertilisés. Les premiers moutons de ce type devraient bientôt naître. QUESTIONS ET DEVOIRS
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