Сборник текстов и упражнений по французскому языку (для студентов исторического факультета). Литвинова В.М. - 64 стр.

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2) A la différence de 1969, qsdfgh présente un candidat dès le
premier tour François Mitterrand.
a) la droite unie b) les partis unis c) la gauche unie
3) qsdfgh de la majorité s’opposent Jaques Chaban-Delmas et le
ministre des Finances Valéry Giscard d’Estaing.
a) près de b) vers c) du côté
4) La participation électorale est très élevée il n’y a que 15,7 %
qsdfgh.
a) les suffrages b) d’abstentions c) citoyens
5) Valéry Giscard d’Estaing, qui a convaincu de sa volonté de
changement une frange des électeurs, qsdfgh de justesse par 50,81%
des suffrages exprimés contre 49,19 % à son adversaire.
a) l’emporte b) gagne c) discute
6) Le nouveau président de la République va se heurter aux
dures contraintes de la lutte politique et à des contestations diverses
sur une toile de fond de crise économique et de qsdfgh internationales
aggravées.
a) tensions b) coopération c) stagnations
7) Le président de la République s’efforce d’ouvrir qsdfgh avec
l’opposition sans un véritable écho.
a) un discours b) un espoir c) un dialogue
8) A côté de ces réformes politiques qsdfgh des réformes qui
touchent aux mœurs.
a) sont discutées b) sont prises c) sont révisées
9) Une loi du 11 juillet 1975 qsdfgh les procédures de divorce.
a) aggrave b) facilite c) montre
10) Les projets qsdgh aux réformes économiques et sociales
n’aboutissent pas.
a) relatifs b) conformes c) correspondant
4. Résumez le texte.
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Le poids de la crise
1. Lisez et traduisez le texte.
En fait, une partie de la majorité parlementaire est réservée
devant les projets présidentiels. Les interventions croissantes du
président de la République dans la conduite directe des affaires, une
appréciation différente de l'attitude à observer face à la crise économique,
un désaccord sur l'Europe (c'est le 12 juillet qu'intervient l'accord de
Bruxelles sur l'élection de l'Assemblée européenne au suffrage
universel), toutes ces raisons sont aux origines de la démission, le 25
août 1976, du Premier ministre. Il affirme publiquement, et de façon
inhabituelle, ne pas disposer des moyens nécessaires pour assurer ses
fonctions.
Jacques Chirac est remplacé par Raymond Barre, professeur
d'économie politique, ancien vice-président de la Commission des
Communautés économiques européennes, ministre du Commerce
extérieur depuis janvier 1976, qui n'appartient à aucune formation
politique et reçoit pour première mission de lutter contre l'inflation. Il
prend en même temps les portefeuilles de l'Économie et des Finances.
La stabilité monétaire et l'équilibre des échanges exrieurs
deviennent la priorité. Dans cette politique d'austérité, le Premier
ministre trouve des oppositions au sein même de sa majorité. Chirac
prend la tête du mouvement gaulliste, rebaptisé RPR (Rassemblement
pour la République), qui adopte une attitude critique vis-à-vis du
gouvernement. Aussi Raymond Barre recourt-il volontiers, tout au
long des gouvernements successifs qu'il préside jusqu'en mai 1981, à
l'article 49-3, qui dispose que le texte proposé est adopté si une motion
de censure ne recueille pas de majorité. De vives frictions opposent,
dans la majorité gouvernementale, le RPR et l'Union pour la
démocratie française (UDF), constituée à la veille des élections de
1978. Ce cartel électoral réunit: le Parti républicain, issu des
républicains indépendants, le Centre des démocrates-sociaux, né de la
réunification des centristes d'inspiration démocrate-chrétienne; et les
radicaux, entendons ceux qui n'acceptent pas, à l'inverse du
Mouvement des radicaux de gauche, l'entente avec les socialistes ou
les communistes.
      2) A la différence de 1969, qsdfgh présente un candidat dès le                                Le poids de la crise
premier tour François Mitterrand.
      a) la droite unie b) les partis unis c) la gauche unie                     1. Lisez et traduisez le texte.
      3) qsdfgh de la majorité s’opposent Jaques Chaban-Delmas et le               En fait, une partie de la majorité parlementaire est réservée
ministre des Finances Valéry Giscard d’Estaing.                            devant les projets présidentiels. Les interventions croissantes du
      a) près de b) vers c) du côté                                        président de la République dans la conduite directe des affaires, une
      4) La participation électorale est très élevée il n’y a que 15,7 %   appréciation différente de l'attitude à observer face à la crise économique,
qsdfgh.                                                                    un désaccord sur l'Europe (c'est le 12 juillet qu'intervient l'accord de
      a) les suffrages b) d’abstentions c) citoyens                        Bruxelles sur l'élection de l'Assemblée européenne au suffrage
      5) Valéry Giscard d’Estaing, qui a convaincu de sa volonté de        universel), toutes ces raisons sont aux origines de la démission, le 25
changement une frange des électeurs, qsdfgh de justesse par 50,81%         août 1976, du Premier ministre. Il affirme publiquement, et de façon
des suffrages exprimés contre 49,19 % à son adversaire.                    inhabituelle, ne pas disposer des moyens nécessaires pour assurer ses
      a) l’emporte b) gagne c) discute                                     fonctions.
      6) Le nouveau président de la République va se heurter aux                   Jacques Chirac est remplacé par Raymond Barre, professeur
dures contraintes de la lutte politique et à des contestations diverses    d'économie politique, ancien vice-président de la Commission des
sur une toile de fond de crise économique et de qsdfgh internationales     Communautés économiques européennes, ministre du Commerce
aggravées.                                                                 extérieur depuis janvier 1976, qui n'appartient à aucune formation
      a) tensions b) coopération c) stagnations                            politique et reçoit pour première mission de lutter contre l'inflation. Il
      7) Le président de la République s’efforce d’ouvrir qsdfgh avec      prend en même temps les portefeuilles de l'Économie et des Finances.
l’opposition sans un véritable écho.                                       La stabilité monétaire et l'équilibre des échanges extérieurs
      a) un discours b) un espoir c) un dialogue                           deviennent la priorité. Dans cette politique d'austérité, le Premier
      8) A côté de ces réformes politiques qsdfgh des réformes qui         ministre trouve des oppositions au sein même de sa majorité. Chirac
touchent aux mœurs.                                                        prend la tête du mouvement gaulliste, rebaptisé RPR (Rassemblement
      a) sont discutées b) sont prises c) sont révisées                    pour la République), qui adopte une attitude critique vis-à-vis du
      9) Une loi du 11 juillet 1975 qsdfgh les procédures de divorce.      gouvernement. Aussi Raymond Barre recourt-il volontiers, tout au
      a) aggrave b) facilite c) montre                                     long des gouvernements successifs qu'il préside jusqu'en mai 1981, à
      10) Les projets qsdgh aux réformes économiques et sociales           l'article 49-3, qui dispose que le texte proposé est adopté si une motion
n’aboutissent pas.                                                         de censure ne recueille pas de majorité. De vives frictions opposent,
      a) relatifs b) conformes c) correspondant                            dans la majorité gouvernementale, le RPR et l'Union pour la
                                                                           démocratie française (UDF), constituée à la veille des élections de
      4. Résumez le texte.                                                 1978. Ce cartel électoral réunit: le Parti républicain, issu des
                                                                           républicains indépendants, le Centre des démocrates-sociaux, né de la
                                                                           réunification des centristes d'inspiration démocrate-chrétienne; et les
                                                                           radicaux, entendons ceux qui n'acceptent pas, à l'inverse du
                                                                           Mouvement des radicaux de gauche, l'entente avec les socialistes ou
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