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services culturels des ambassades, qui se mobilisent, s’en félicitent et
constatent l’intérêt suscité par ces manifestations.
Venir étudier en France, c’est non seulement avoir accès à un large
éventail de formation allant de l’archéologie à la recherche en
informatique, mais c’est aussi s’ouvrir la porte de l’Europe et des marchés
européens. C’est enfin, en terme d’emploi, des perspectives dans les
milliers d’entreprises françaises installées partout dans le monde.
Liliane Delwasse (Label France, 1998)
Texte 2 : La France dans l’Europe
Partant du constat qu'en cette fin de XX
e
siècle les étudiants sont parfois
casaniers, la Communauté européenne a mis en œuvre le programme
«Socrates», qui réunit tous les programmes de formation initiale, dont
«Erasmus», afin de permettre à nombre d'entre eux de poursuivre leurs
études dans l’un des pays membres.
Les moyens financiers sont impressionnants: 5,5 milliards de francs (soit
0,9 milliard de dollars, sur la base de 1 dollar = 6 francs) pour la période
1995-1999. Déjà près d'un demi-million d'étudiants français ont profité de
ces facilités. Actuellement trois cent universités et grandes écoles
françaises sont parties prenantes de cet ambitieux programme. Celui qui
souhaite en bénéficier doit préparer son départ un an à l'avance afin de
pouvoir étudier de six mois à un an dans une université étrangère dès le
DEUG ou la licence en poche (équivalent de la deuxième ou troisième
année universitaire). Parler la langue du pays est une condition
indispensable... loin d'être suffisante.
En effet, il faut réussir de sévères épreuves de sélection. Le système
européen d'unités capitalisables permet aux étudiants de transférer leurs
unités de valeurs (UV) pour obtenir le diplôme de l'université dans
laquelle ils postulent. Un an à l’avance, l'étudiant doit adresser à
l’université étrangère une demande de «dispense d'études» accompagnée
d'une attestation des diplômes acquis ainsi qu'une description du cursus
suivi. Grâce a de nombreux accords passés par les grandes écoles de
gestion ou d'ingénieurs françaises, il est parfois possible de décrocher un
double diplôme.
Afin de faciliter ces démarches, l'Union européenne a mis en place un
réseau de centres d'information sur la reconnaissance académique des
diplômes (NARIC). II existe en fait, deux types de reconnaissance de
diplômes - académiques et professionnelles. Pour la première, la décision
est du ressort de chaque établissement d’enseignement supérieur. La
seconde, qui permet de travailler dans un autre pays de l'Union, dépend de
la décision des employeurs. En outre pour quelques, professions
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services culturels des ambassades, qui se mobilisent, s’en félicitent et constatent l’intérêt suscité par ces manifestations. Venir étudier en France, c’est non seulement avoir accès à un large éventail de formation allant de l’archéologie à la recherche en informatique, mais c’est aussi s’ouvrir la porte de l’Europe et des marchés européens. C’est enfin, en terme d’emploi, des perspectives dans les milliers d’entreprises françaises installées partout dans le monde. Liliane Delwasse (Label France, 1998) Texte 2 : La France dans l’Europe Partant du constat qu'en cette fin de XXe siècle les étudiants sont parfois casaniers, la Communauté européenne a mis en œuvre le programme «Socrates», qui réunit tous les programmes de formation initiale, dont «Erasmus», afin de permettre à nombre d'entre eux de poursuivre leurs études dans l’un des pays membres. Les moyens financiers sont impressionnants: 5,5 milliards de francs (soit 0,9 milliard de dollars, sur la base de 1 dollar = 6 francs) pour la période 1995-1999. Déjà près d'un demi-million d'étudiants français ont profité de ces facilités. Actuellement trois cent universités et grandes écoles françaises sont parties prenantes de cet ambitieux programme. Celui qui souhaite en bénéficier doit préparer son départ un an à l'avance afin de pouvoir étudier de six mois à un an dans une université étrangère dès le DEUG ou la licence en poche (équivalent de la deuxième ou troisième année universitaire). Parler la langue du pays est une condition indispensable... loin d'être suffisante. En effet, il faut réussir de sévères épreuves de sélection. Le système européen d'unités capitalisables permet aux étudiants de transférer leurs unités de valeurs (UV) pour obtenir le diplôme de l'université dans laquelle ils postulent. Un an à l’avance, l'étudiant doit adresser à l’université étrangère une demande de «dispense d'études» accompagnée d'une attestation des diplômes acquis ainsi qu'une description du cursus suivi. Grâce a de nombreux accords passés par les grandes écoles de gestion ou d'ingénieurs françaises, il est parfois possible de décrocher un double diplôme. Afin de faciliter ces démarches, l'Union européenne a mis en place un réseau de centres d'information sur la reconnaissance académique des diplômes (NARIC). II existe en fait, deux types de reconnaissance de diplômes - académiques et professionnelles. Pour la première, la décision est du ressort de chaque établissement d’enseignement supérieur. La seconde, qui permet de travailler dans un autre pays de l'Union, dépend de la décision des employeurs. En outre pour quelques, professions 84
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