Перевод экономического текста (французский язык). Макарова Л.С - 20 стр.

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emprun de 2 millions d’euros qu’elle divise en 20 000 parts (une part = 100 €) et
qu’elle s’engage à rembourser dans 15 ans. Vous lui apportez autant de billets de
100 euros que vous le désirez et elle, en echange, vous remet des obligations.
Cette fois, vous n’êtes qu’un simple créancier de l’entreprise. Pour vous
remercier de votre prêt, la socié vous versera chaque année des intérêts. A la
différence du dividende, vous toucherez toujours la même somme. Et voila
pourquoi on appelle l’obligation une valeur à revenu fixe.
Quant à savoir s’il faut acheter des actions ou des obligations, ça, c’est une
autre histoire. Le mieux est, sans doute, il ne faut jamais mettre tous les oeufs
dans le même panier. Avec une obligation, il y a moins de risque, mais en
général on gagne moins. Avec une action, il y a toujours un peu d’aventure, mais
ça peut rapporter gros. Il y a un bon dicton à ce propos : “ Si vous voulez bien
dormir, achetez des obligations, si vous voulez bien manger, achetez des
actions ”.
TEXTE 9. LES INVESTISSEMENTS DE “ MATRA-HACHETTE”
EN RUSSIE
Jean-Luc Lagardère, président de Matra-Hachette, croit au développement
rapide de la presse et des hautes technologies en Russie. Voilà pourquoi son
groupe cherche à coopérer avec les grands industriels sur le terrain.
“ Communication et hautes technologies seront les vecteurs majeurs de la
croissance au XXI siècle ”, dit Jean-Luc Lagardère. Cette vision de l’avenir
explique la conjugaison des activités d’Hachette (communication et médias) et
de Matra (conception et production de satellites, de missiles et de transports) au
sein du groupe Lagardère. De ses débuts, comme directeur général de Matra en
1963, à sa reprise en main d’Hachette en 1981 et à sa position d’associé
commendité d’un groupe de 42 000 employés, le parcours de Jean-Luc Lagardère
montre une volonté de nouer des alliances, en particulier à l’international, tout en
gardant son indépendance.
Hachette veut lancer deux titres par an pendant cinq ans.
En dehors des activités touchant à la Défense que le groupe Lagardère
souhaite garder confidencielles, les investissements reposent sur une coopération
technique avec les entreprises russes différentes selon les secteurs.
Dans le domain de la haute technologie, Matra-Datavision à créé en 1990
la filial Datavision International afin de développer les relations commerciales
avec la CEI pour la conception et la fabrication assistées par ordinateur.
Datavision International compte 55 clients en CEI, dont la majorité en Russie.
Dans l’industrie aérospatiale on peut citer VNII-Transmach, NPO-PM, dans
l’industrie automobile Moscvitch et Kamaz, dans le nucléaire et l’ingéniérie :
AO Zvezda, Krasnogorsky Mekhanitchesky zavod Zenit, etc.
Les implantations locales à Moscou, Nijni-Novgorod, Minsk et Kiev
emploient 60 ingénieurs et techniciens. Selon Robert Ollier, directeur
international de Matra Datavision, la collaboration est facilitée par “ le niveau de
formation élevé des ingénieurs et concepteurs en Russie. L’industrie locale
emprun de 2 millions d’euros qu’elle divise en 20 000 parts (une part = 100 €) et
qu’elle s’engage à rembourser dans 15 ans. Vous lui apportez autant de billets de
100 euros que vous le désirez et elle, en echange, vous remet des obligations.
Cette fois, vous n’êtes qu’un simple créancier de l’entreprise. Pour vous
remercier de votre prêt, la société vous versera chaque année des intérêts. A la
différence du dividende, vous toucherez toujours la même somme. Et voila
pourquoi on appelle l’obligation une valeur à revenu fixe.
       Quant à savoir s’il faut acheter des actions ou des obligations, ça, c’est une
autre histoire. Le mieux est, sans doute, il ne faut jamais mettre tous les oeufs
dans le même panier. Avec une obligation, il y a moins de risque, mais en
général on gagne moins. Avec une action, il y a toujours un peu d’aventure, mais
ça peut rapporter gros. Il y a un bon dicton à ce propos : “ Si vous voulez bien
dormir, achetez des obligations, si vous voulez bien manger, achetez des
actions ”.

    TEXTE 9. LES INVESTISSEMENTS DE “ MATRA-HACHETTE”
                          EN RUSSIE

        Jean-Luc Lagardère, président de Matra-Hachette, croit au développement
rapide de la presse et des hautes technologies en Russie. Voilà pourquoi son
groupe cherche à coopérer avec les grands industriels sur le terrain.
        “ Communication et hautes technologies seront les vecteurs majeurs de la
croissance au XXI siècle ”, dit Jean-Luc Lagardère. Cette vision de l’avenir
explique la conjugaison des activités d’Hachette (communication et médias) et
de Matra (conception et production de satellites, de missiles et de transports) au
sein du groupe Lagardère. De ses débuts, comme directeur général de Matra en
1963, à sa reprise en main d’Hachette en 1981 et à sa position d’associé
commendité d’un groupe de 42 000 employés, le parcours de Jean-Luc Lagardère
montre une volonté de nouer des alliances, en particulier à l’international, tout en
gardant son indépendance.
        Hachette veut lancer deux titres par an pendant cinq ans.
        En dehors des activités touchant à la Défense que le groupe Lagardère
souhaite garder confidencielles, les investissements reposent sur une coopération
technique avec les entreprises russes différentes selon les secteurs.
        Dans le domain de la haute technologie, Matra-Datavision à créé en 1990
la filial Datavision International afin de développer les relations commerciales
avec la CEI pour la conception et la fabrication assistées par ordinateur.
Datavision International compte 55 clients en CEI, dont la majorité en Russie.
Dans l’industrie aérospatiale on peut citer VNII-Transmach, NPO-PM, dans
l’industrie automobile Moscvitch et Kamaz, dans le nucléaire et l’ingéniérie :
AO Zvezda, Krasnogorsky Mekhanitchesky zavod Zenit, etc.
        Les implantations locales à Moscou, Nijni-Novgorod, Minsk et Kiev
emploient 60 ingénieurs et techniciens. Selon Robert Ollier, directeur
international de Matra Datavision, la collaboration est facilitée par “ le niveau de
formation élevé des ingénieurs et concepteurs en Russie. L’industrie locale