Перевод экономического текста (французский язык). Макарова Л.С - 4 стр.

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Des prêts aidés ou réglementés par l'Etat aux prêts libres, en passant par
l'épargne logement, une vaste panoplie est à votre disposition. Toutefois la
vigilanee s’impose.
Ne pas finir étranglé.
Quelle que soit la combinaison des prêts, veillez à ce que votre
endettement ne dépasse pas 30% de vos revenus bruts - si vous gagnez 30 000F,
vos mensualités ne doivent pas excéder 9 000 F - sous peine d’être “ etranglé”
fin de mois par votre crédit et votre train de vie. Pour l’avoir oublié, certains s’en
mordent les doigts : incapacité de faire face aux échéances, renégociation des
prêts sur une plus longue durée. Une spirale infernale qui peut aboutir à la saisie
du bien !
L'apport personnel, un point capital.
Plus votre apport sera important, moins votre crédit sera lourd et meilleur
sera le taux que vous consentira votre banquier. Pour 500 000 F empruntés sur
quinze ans, une différence d'un demi- point sur le taux représente à l’arrivée une
économie non négligeable : par rapport à un taux de 7%, un prêt à 6,50% vous
fait économiser 25 200 F. Cet apport peut être constitué de diverses manières :
héritage, prêt familial, prêt 1 % logement pour les salariés (limité à 110 000 F en
Ile-de-France, à 90 000 F en province), prêt fonctionnaires... Le prêt à taux zéro
peut tout à fait rentrer dans cet apport pour financer un logement, à condition que
les travaux représentent 54 % du montant de l’opération. II s'agit, en fait, d’une
avance remboursable sans intérêts, soumise à des conditions de ressources fixées
en fonction de la composition de la famille et de la zone du logement. En aucun
cas, il ne s’agit d’un prêt principal : son montant est d'ailleurs limité à 18 0000 F
en Ile-de-France et à 140 000F en province. A Paris, la ville double la mise.
Enfin, mettez à profit votre plan d'épargne logement (PEL, 600 000 F maximum)
ou votre compte d'épargne logement (CEL, 180 000 F), voire les deux, qui vous
ouvriront des prêts à 6,32 %, 5,54%, 4,80 % (selon la date de souscription) pour
le PEL et à 3,75% pour le CEL.
L'emprunt à 100 %, c'est possible.
Les banques s’opposent de moins en moins à financer un bien à 100 % et
proposent des taux tout à fait raisonnables, à peine plus élevés que dans les cas
les acheteurs disposent d'un apport. Mais elles seront vigilantes sur la quali
du bien à financer. En cas de défaillante de l'emprunteur, il servira de gage .
Soyez conscients de risques.
Faites jouer la concurrence.
Pour décrocher un client, les banques rognent sur leurs marges et se livrent
à une véritable guerre. Elles inventent ainsi des formules sophistiquées pour
coller au plus près des besoins des emprunteurs. A vous d’en jouer.
Taux fixe à 6,8 % ou taux variable à 5,5 % ?
Au premier abord, aucune hésitation : le taux variable est plus
        Des prêts aidés ou réglementés par l'Etat aux prêts libres, en passant par
l'épargne logement, une vaste panoplie est à votre disposition. Toutefois la
vigilanee s’impose.
        Ne pas finir étranglé.
        Quelle que soit la combinaison des prêts, veillez à ce que votre
endettement ne dépasse pas 30% de vos revenus bruts - si vous gagnez 30 000F,
vos mensualités ne doivent pas excéder 9 000 F - sous peine d’être “ etranglé”
fin de mois par votre crédit et votre train de vie. Pour l’avoir oublié, certains s’en
mordent les doigts : incapacité de faire face aux échéances, renégociation des
prêts sur une plus longue durée. Une spirale infernale qui peut aboutir à la saisie
du bien !
        L'apport personnel, un point capital.
        Plus votre apport sera important, moins votre crédit sera lourd et meilleur
sera le taux que vous consentira votre banquier. Pour 500 000 F empruntés sur
quinze ans, une différence d'un demi- point sur le taux représente à l’arrivée une
économie non négligeable : par rapport à un taux de 7%, un prêt à 6,50% vous
fait économiser 25 200 F. Cet apport peut être constitué de diverses manières :
héritage, prêt familial, prêt 1 % logement pour les salariés (limité à 110 000 F en
Ile-de-France, à 90 000 F en province), prêt fonctionnaires... Le prêt à taux zéro
peut tout à fait rentrer dans cet apport pour financer un logement, à condition que
les travaux représentent 54 % du montant de l’opération. II s'agit, en fait, d’une
avance remboursable sans intérêts, soumise à des conditions de ressources fixées
en fonction de la composition de la famille et de la zone du logement. En aucun
cas, il ne s’agit d’un prêt principal : son montant est d'ailleurs limité à 18 0000 F
en Ile-de-France et à 140 000F en province. A Paris, la ville double la mise.
Enfin, mettez à profit votre plan d'épargne logement (PEL, 600 000 F maximum)
ou votre compte d'épargne logement (CEL, 180 000 F), voire les deux, qui vous
ouvriront des prêts à 6,32 %, 5,54%, 4,80 % (selon la date de souscription) pour
le PEL et à 3,75% pour le CEL.
        L'emprunt à 100 %, c'est possible.
        Les banques s’opposent de moins en moins à financer un bien à 100 % et
proposent des taux tout à fait raisonnables, à peine plus élevés que dans les cas
où les acheteurs disposent d'un apport. Mais elles seront vigilantes sur la qualité
du bien à financer. En cas de défaillante de l'emprunteur, il servira de gage .
Soyez conscients de risques.
        Faites jouer la concurrence.
        Pour décrocher un client, les banques rognent sur leurs marges et se livrent
à une véritable guerre. Elles inventent ainsi des formules sophistiquées pour
coller au plus près des besoins des emprunteurs. A vous d’en jouer.
        Taux fixe à 6,8 % ou taux variable à 5,5 % ?

      Au premier abord, aucune hésitation : le taux variable est plus