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Au niveau syntaxique cette idée est traduite à l’aide des
énumérations : elle acheta..., se réjouit..., oublia..., ne songea plus que..., fut.
Pour créer le rythme dynamique de l’exposition l’auteur utilise les phrases à
termes réduits (vivre honnêtement de son travail, reste de ses habitudes de
désordre).
Au niveau lexical la même idée est évidente si on révèle le lexique
reflétant l’action : travail (le mot se répète plusieurs fois), le goût du travail,
regarder, acheta, vivre, fut heureuse, meubla. Il faut remarquer que même les
verbes de sens abstrait (regarder, vivre) prennent dans le contexte le sens
concret, en soulignant l’intensité de cette action. Fantine essaye de s’entourer
d’objets, de choses qui portent pour elle une valeur spéciale, celle de la vie, de
l’avenir : miroir, chambre. L’auteur crée une ambiance très positive dans
l’exposition, celle de la jeunesse, du bonheur. Il l’obtient en utilisant le
lexique créant le champs thématique du bonheur : vivre, joie, grâce du ciel,
goût du travail, se réjouit, jeunesse, beaux cheveux, belles dents, l’avenir
possible, heureuse.
Et finalement, au niveau stylistique l’idée de « l’avenir possible » est
exprimée à l’aide de l’emploi du discours indirect libre. « Vivre honnêtement
de son travail, quelle grâce du ciel ! » Nous connaissons que V.Hugo possède
tous les moyens pour intervenir dans l’exposé d’une façon très délicate. Le
cas cité – c’est une des manifestations de l’expression du point de vue de
l’écrivain.
Il faut encore ajouter en ce qui concerne les idées de l’auteur que
l’auteur nous décrit très brièvement la vie de Fantine et nous donne quelques
informations sur elle : par exemple, V.Hugo montre que Fantine aimait
beaucoup sa fille Cosette, en utilisant le tour restrictif (ne songea plus que).
Pour montrer que Fantine était illitrée, l’auteur utilise aussi le tour restrictif
(ne savait que signer) et la forme passive (était obligée). Ça va sans dire que
14 Au niveau syntaxique cette idée est traduite à l’aide des énumérations : elle acheta..., se réjouit..., oublia..., ne songea plus que..., fut. Pour créer le rythme dynamique de l’exposition l’auteur utilise les phrases à termes réduits (vivre honnê tement de son travail, reste de ses habitudes de désordre). Au niveau lexical la mê me idée est évidente si on révèle le lexique reflétant l’action : travail (le mot se répète plusieurs fois), le goût du travail, regarder, acheta, vivre, fut heureuse, meubla. Il faut remarquer que mê me les verbes de sens abstrait (regarder, vivre) prennent dans le contexte le sens concret, en soulignant l’intensité de cette action. Fantine essaye de s’entourer d’objets, de choses qui portent pour elle une valeur spéciale, celle de la vie, de l’avenir : miroir, chambre. L’auteur crée une ambiance très positive dans l’exposition, celle de la jeunesse, du bonheur. Il l’obtient en utilisant le lexique créant le champs thématique du bonheur : vivre, joie, grâce du ciel, goût du travail, se réjouit, jeunesse, beaux cheveux, belles dents, l’avenir possible, heureuse. Et finalement, au niveau stylistique l’idée de « l’avenir possible » est exprimée à l’aide de l’emploi du discours indirect libre. « Vivre honnê tement de son travail, quelle grâce du ciel ! » Nous connaissons que V.Hugo possède tous les moyens pour intervenir dans l’exposé d’une façon très délicate. Le cas cité – c’est une des manifestations de l’expression du point de vue de l’écrivain. Il faut encore ajouter en ce qui concerne les idées de l’auteur que l’auteur nous décrit très brièvement la vie de Fantine et nous donne quelques informations sur elle : par exemple, V.Hugo montre que Fantine aimait beaucoup sa fille Cosette, en utilisant le tour restrictif (ne songea plus que). Pour montrer que Fantine était illitrée, l’auteur utilise aussi le tour restrictif (ne savait que signer) et la forme passive (était obligée). Ça va sans dire que
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