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V.Hugo utilise dans ce cas l’imparfait de description (payait  –  action 
répétée, ne savait que, était obligée, écrivait. 
Comme nous avons déjà remarqué, l’exposition constitue l’antithèse 
avec tout le reste de l’extrait, particulièrement avec la deuxième partie du 
premier fragment du texte, où V.Hugo nous parle de la curiosité pernicieuse 
des gens. Le noeud est clairement marqué par le passé simple : cela fut 
remarqué, on commença. En ce qui concerne le cô té grammatical, le temps 
qui prédomine, c’est le présent hors temporel, à l’aide duquel V.Hugo nous 
fait voir les traits des gens qui sont typiques, immuables dans leurs 
caractères : ne regardent pas, vient, accroche, descend etc. Ce fragment du 
texte (commençant par les mots « il n’y a rien de tel » représente la digression 
de l’auteur qui nous  relève tous les moyens syntaxico-stylistiques typiques 
pour la digression. Par exemple, ce sont les questions rhétoriques qui 
abondent : Pourquoi ce monsieur ne vient-il jamais qu’à la brune ? pourquoi 
monsieur un tel n’accroche-t-il jamais sa clou le jeudi ? etc. 
Les questions rhétoriques représentent le discours indirect libre inséré 
dans la digression de l’auteur. D’ailleurs, ces questions rhétoriques sont 
construites parallélement, autrement dit nous sommes en présence du 
parallélisme syntaxique, et d/une anaphore (pourquoi ?). Au niveau 
syntaxique nous pouvons également remarquer les énumérations, dont le but 
est de créer l’impression de la multitude des actions malpropres des gens : 
dépensent plus d’argent , prodiguent plus de temps, se donnent plus de peine ; 
leur conversation, causerie dans le salon, bavardage dans l’antichambre. Dans 
les énumérations nommées on voit également le parallélisme syntaxique (plus 
d’argent, plus de temps, plus de peine). 
V.Hugo, pour accentuer cette idée la renforce  également au niveau 
stylistique : le fragment « leur conversation, causerie dans le salon, bavardage 
dans l’antichambre » c’est une gradation ascendante. Aussi le niveau 
stylistique, lexical, grammatical et stylistique sont-ils inséparables. Voilà 
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V.Hugo utilise dans ce cas l’imparfait de          description   (payait   –   action
répétée, ne savait que, était obligée, écrivait.
      Comme nous avons déjà remarqué, l’exposition constitue l’antithèse
avec tout le reste de l’extrait, particulièrement avec la deuxième partie du
premier fragment du texte, où V.Hugo nous parle de la curiosité pernicieuse
des gens. Le noeud est clairement marqué par le passé simple : cela fut
remarqué, on commença. En ce qui concerne le cô té grammatical, le temps
qui prédomine, c’est le présent hors temporel, à l’aide duquel V.Hugo nous
fait voir les traits des gens qui sont typiques, immuables dans leurs
caractères : ne regardent pas, vient, accroche, descend etc. Ce fragment du
texte (commençant par les mots « il n’y a rien de tel » représente la digression
de l’auteur qui nous relève tous les moyens syntaxico-stylistiques typiques
pour la digression. Par exemple, ce sont les questions rhétoriques qui
abondent : Pourquoi ce monsieur ne vient-il jamais qu’à la brune ? pourquoi
monsieur un tel n’accroche-t-il jamais sa clou le jeudi ? etc.
      Les questions rhétoriques représentent le discours indirect libre inséré
dans la digression de l’auteur. D’ailleurs, ces questions rhétoriques sont
construites parallélement, autrement dit nous sommes en présence du
parallélisme syntaxique, et d/une anaphore (pourquoi ?). Au niveau
syntaxique nous pouvons également remarquer les énumérations, dont le but
est de créer l’impression de la multitude des actions malpropres des gens :
dépensent plus d’argent , prodiguent plus de temps, se donnent plus de peine ;
leur conversation, causerie dans le salon, bavardage dans l’antichambre. Dans
les énumérations nommées on voit également le parallélisme syntaxique (plus
d’argent, plus de temps, plus de peine).
      V.Hugo, pour accentuer cette idée la renforce également au niveau
stylistique : le fragment « leur conversation, causerie dans le salon, bavardage
dans l’antichambre » c’est une gradation ascendante. Aussi le niveau
stylistique, lexical, grammatical et stylistique sont-ils inséparables. Voilà
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