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d’autres preuves de ce phénomène : V.Hugo utilise des comparaisons
pour caractériser les gens bavards et curieux (leur conversation ... est comme
ces cheminées qui usent vite le bois).
Au niveau lexical, pour actualiser cette comparaison l’auteur utilise le
lexique lié au prossesus de l’utilisation du combustible (cheminées, bois, user,
combustible). L’auteur compare le prochain avec le combustible, et les
actions des gens – avec les cheminées qui l’usent. Dans cette comparaison
pour renforcer l’idée des attaques des gens contre le prochain on emploie au
niveau syntaxique l’enchaînement : « Il leur faut beaucoup de combustible, et
le combustible, c’est le prochain».
V.Hugo accuse les gens méchants et curieux d’une façon évidente.
L’auteur veux nous monter que ces gens sont une bande, ils sont ensemble et
c’est pourquoi c’est une masse dépersonnalisée. Pour le montrer V.Hugo
utilise plusieurs fois le pronom indéfini « on » (on l’a vu, on commença), le
tour impersonnel (il existe). On voit l’attitude ironique et le mépris de l’auteur
à l’égard de ces gens. L’auteur utilise pour cela au niveau lexical les mots tels
que « épier, certaines personnes, méchante curiosité, des êtres ». On voit
l’ironie de l’auteur dans les expressions « le mot de ces énigmes,
gratuitement, pour le plaisir », dans l’emploi du comparatif et du conditionnel
présent (niveau grammatical) : « ... se donnent plus de peine qu’il n’en
faudrait pour dix bonnes actions. »
Pour terminer l’analyse de la première partie on peut remarquer que
V.Hugo montre la médiocrité des gens en faisant l’accent sur leur imagination
malade qui vise les choses ordinaires, quotidiennes en leur donnant la figure
de leur fantaisie. C’est pourquoi nous pouvons trouver beaucoup de lexique,
traduisant les notions quotidiennes : la clé, le clou, à la brune, les petites rues,
le fiacre, un cahier de papier à lettres.
16 d’autres preuves de ce phénomène : V.Hugo utilise des comparaisons pour caractériser les gens bavards et curieux (leur conversation ... est comme ces cheminées qui usent vite le bois). Au niveau lexical, pour actualiser cette comparaison l’auteur utilise le lexique lié au prossesus de l’utilisation du combustible (cheminées, bois, user, combustible). L’auteur compare le prochain avec le combustible, et les actions des gens – avec les cheminées qui l’usent. Dans cette comparaison pour renforcer l’idée des attaques des gens contre le prochain on emploie au nement : « Il leur faut beaucoup de combustible, et niveau syntaxique l’enchaî le combustible, c’est le prochain». V.Hugo accuse les gens méchants et curieux d’une façon évidente. L’auteur veux nous monter que ces gens sont une bande, ils sont ensemble et c’est pourquoi c’est une masse dépersonnalisée. Pour le montrer V.Hugo utilise plusieurs fois le pronom indéfini « on » (on l’a vu, on commença), le tour impersonnel (il existe). On voit l’attitude ironique et le mépris de l’auteur à l’égard de ces gens. L’auteur utilise pour cela au niveau lexical les mots tels que « épier, certaines personnes, méchante curiosité, des ê tres ». On voit l’ironie de l’auteur dans les expressions « le mot de ces énigmes, gratuitement, pour le plaisir », dans l’emploi du comparatif et du conditionnel présent (niveau grammatical) : « ... se donnent plus de peine qu’il n’en faudrait pour dix bonnes actions. » Pour terminer l’analyse de la première partie on peut remarquer que V.Hugo montre la médiocrité des gens en faisant l’accent sur leur imagination malade qui vise les choses ordinaires, quotidiennes en leur donnant la figure de leur fantaisie. C’est pourquoi nous pouvons trouver beaucoup de lexique, traduisant les notions quotidiennes : la clé, le clou, à la brune, les petites rues, le fiacre, un cahier de papier à lettres.