Принципы анализа текста. Полянчук О.Б - 8 стр.

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Par exemple : La phrase « elle plia sous cet arrêt » reflète la
résignation de Fantine, sa dernière réaction à la tempête inévitable.
Il est à remarquer que les proportions des éléments de la structure
conceptuelle ne sont pas bien équilibrés dans tous les cas : il y a des extraits
qui se terminent par la culmination, il y a ceux où manque la décroissance de
la tension dramatique, le dénouement suivant directement la culmination.
Lintensité et la netteté des éléments de la structure conceptuelle est
également différente dans les extraits de différente nature : dans les textes
descriptifs la courbe de la croissance de la tension est plate, la culmination est
à peine délimitable. Par contre, dans les textes à caractère dynamique, tous les
éléments de la charpente sont nettement prononcés.
Chaque partie du texte correspondant à un élément concret de la
charpente, possède ses moyens stylistiques, lexicaux, grammaticaux pour
actualiser lidée-maîtresse du texte en général et de chacune de ses parties en
particulier.
Par exemple : Quant à lexposition, elle est caractérisée par lemploi du
style descriptif, les imparfaits de description etc. ; si on considère la
croissance de la tension dramatique dans quelque partie du texte, sont
typiques les gradations ascendantes, laugmentation de la concentration
d’épithètes, de métaphores etc., la prédominance des temps et de formes
communiquant à lextrait plus de dynamisme (passé simple, gérondif,
participe présent, passé composé, présent de narration).
En ce qui concerne la culmination, cest là quon trouve surtout tout un
éventail de procédés, reflétant la tension émotionnelle et le dynamisme de
laction. Entre les procédés quon remarque dans ce cas, on trouve les
énumérations, les moyens lexicaux reflétant lidée avec le plus dexactitude et
portant le plus de charge émotionnelle, les moyens syntaxiques les plus variés
(ségmentation de la phrase, toute sorte de mises en relief etc.), les moyens
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      Par exemple : La phrase « elle plia       sous   cet   arrê t »    reflète   la
résignation de Fantine, sa dernière réaction à la tempê te inévitable.
      Il est à remarquer que les proportions des éléments de la structure
conceptuelle ne sont pas bien équilibrés dans tous les cas : il y a des extraits
qui se terminent par la culmination, il y a ceux où manque la décroissance de
la tension dramatique, le dénouement suivant directement la culmination.
L’intensité et la netteté des éléments de la structure conceptuelle est
également différente dans les extraits de différente nature : dans les textes
descriptifs la courbe de la croissance de la tension est plate, la culmination est
à peine délimitable. Par contre, dans les textes à caractère dynamique, tous les
éléments de la charpente sont nettement prononcés.
      Chaque partie du texte correspondant à un élément concret de la
charpente, possède ses moyens stylistiques, lexicaux, grammaticaux pour
actualiser l’idée-maîtresse du texte en général et de chacune de ses parties en
particulier.
      Par exemple : Quant à l’exposition, elle est caractérisée par l’emploi du
style descriptif, les imparfaits de description etc. ; si on considère la
croissance de la tension dramatique dans quelque partie du texte, sont
typiques les gradations ascendantes, l’augmentation de la concentration
d’épithètes, de métaphores etc., la prédominance des temps et de formes
communiquant à l’extrait plus de dynamisme (passé simple, gérondif,
participe présent, passé composé, présent de narration).
      En ce qui concerne la culmination, c’est là qu’on trouve surtout tout un
éventail de procédés, reflétant la tension émotionnelle et le dynamisme de
l’action. Entre les procédés qu’on remarque dans ce cas, on trouve les
énumérations, les moyens lexicaux reflétant l’idée avec le plus d’exactitude et
portant le plus de charge émotionnelle, les moyens syntaxiques les plus variés
(ségmentation de la phrase, toute sorte de mises en relief etc.), les moyens