Устный перевод в вузе. Часть I. Попова О.И. - 21 стр.

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2.6.1. Íàéäèòå ðóññêèå ñîîòâåòñòâèÿ ê âûäåëåííûì ñëîâàì è ñëî-
âîñî÷åòàíèÿì.
2.6.2. Ïåðåâåäèòå óñòíî ïî àáçàöàì ïîñëå îäíîêðàòíîãî
ïðîñëóøèâàíèÿ:
Europe sociale:
entre espoir et nécessité
Au terme d’une lente progression, qui lui a permis de disposer
d’une législation et d’un cadre institutionnel, la politique sociale
européenne est à un tournant décisif. Les impératifs de la globalisation,
de l’intégration économique communautaire sans cesse plus poussée,
des évolutions socio-économiques, ainsi que le sommet de Lisbonne de
mars 2000, ont mis à l’ordre du jour une série de défis .
L’Europe sociale est le fruit d’une lente évolution. A l’origine du
projet communautaire et dans l’esprit des pères fondateurs, il y a d’une
part la conviction qu’il faut laisser aux Etats membres leurs compétences
en matière sociale et que, d’autre part, le progrès social découlera très
logiquement des progrès économiques engendrés par le marché commun.
Il n’est dès lors pas étonnant que les premières et très importantes
réalisations dans le domaine social aient porté sur la libre circulation des
travailleurs et son indispensable complément, la sécurité sociale des
travailleurs migrants, afin d’accompagner l’ouverture des frontières et la
réalisation du marché commun.
Ce n’est qu’à la fin des années 70, lorsqu’il devient évident que
les«Trente Glorieuses» (1945—1975) sont bien terminées et que les
premières tensions sociales apparaissent. — avec notamment la montée
du chômage -, qu’une attention de plus en plus grande est accordée à la
dimension sociale communautaire. La nécessité de renforcer le volet social
lors du passage au marché intérieur et les avancées de la construction
communautaire — l’Acte unique, le traité de Maasticht et l’accord social
ainsi que le traité d’Amsterdam — ont permis l’émergence d’une véritable
politique sociale européenne (Monde).
2.7.1. Ïåðåâåäèòå óñòíî ïî àáçàöàì ïîñëå äâóêðàòíîãî ïðîñëóøè-
âàíèÿ:
Un bilan appréciable
Car le bilan n’est pas aussi maigre que l’on dit parfois. Il faut le
considérer aivec objectivité, ce qui n’est pas souvent le cas tant la politique
2.6.1. Íàéäèòå ðóññêèå ñîîòâåòñòâèÿ ê âûäåëåííûì ñëîâàì è ñëî-
       âîñî÷åòàíèÿì.
2.6.2. Ïåðåâåäèòå óñòíî ïî àáçàöàì ïîñëå îäíîêðàòíîãî
       ïðîñëóøèâàíèÿ:
                              Europe sociale:
                         entre espoir et nécessité
      Au terme d’une lente progression, qui lui a permis de disposer
d’une législation et d’un cadre institutionnel, la politique sociale
européenne est à un tournant décisif. Les impératifs de la globalisation,
de l’intégration économique communautaire sans cesse plus poussée,
des évolutions socio-économiques, ainsi que le sommet de Lisbonne de
mars 2000, ont mis à l’ordre du jour une série de défis .
      L’’Europe sociale est le fruit d’une lente évolution. A l’origine du
projet communautaire et dans l’esprit des pères fondateurs, il y a d’une
part la conviction qu’il faut laisser aux Etats membres leurs compétences
en matière sociale et que, d’autre part, le progrès social découlera très
logiquement des progrès économiques engendrés par le marché commun.
Il n’est dès lors pas étonnant que les premières et très importantes
réalisations dans le domaine social aient porté sur la libre circulation des
travailleurs et son indispensable complément, la sécurité sociale des
travailleurs migrants, afin d’accompagner l’ouverture des frontières et la
réalisation du marché commun.
      Ce n’est qu’à la fin des années 70, lorsqu’il devient évident que
les«Trente Glorieuses» (1945—1975) sont bien terminées et que les
premières tensions sociales apparaissent. — avec notamment la montée
du chômage -, qu’une attention de plus en plus grande est accordée à la
dimension sociale communautaire. La nécessité de renforcer le volet social
lors du passage au marché intérieur et les avancées de la construction
communautaire — l’Acte unique, le traité de Maasticht et l’accord social
ainsi que le traité d’Amsterdam — ont permis l’émergence d’une véritable
politique sociale européenne (Monde).

2.7.1. Ïåðåâåäèòå óñòíî ïî àáçàöàì ïîñëå äâóêðàòíîãî ïðîñëóøè-
       âàíèÿ:
                          Un bilan appréciable
     Car le bilan n’est pas aussi maigre que l’on dit parfois. Il faut le
considérer aivec objectivité, ce qui n’est pas souvent le cas tant la politique

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