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Mes forces ... , ... mon cœur. ... mes poumons haletants. Le sang ... à mes tempes,
... mes yeux surmenés ... . 8. ... le nez et les joues ... sa pelisse ... le corps de son
souffle frais. 9. ... sa femme ... à sa rencontre ... la main. 10. ... sa petite nièce ...
avec sa nouvelle parente. ... son expression ... mon enfant ... ton nom ... . 11. ... à
mon approche ... leur vol ... ma présence ... . 12. ... son chapeau ... sa petite tête
blême et ballottée. 13. Ma veste sur le bras ... . 14. ... son mouchoir de sa poche ...
sur sa bouche. 15. … le fauteuil à sa place.
Задание 29.
1. Ma mère est entrée et m’a pris sur ses genoux. 2. Je compris que la chasse
était commencée. Mon cœur battit plus vite. Je retins mon souffle, et j’attendis. 3.
Mon cher vieux, voilà déjà un mois que je suis à l’hôpital. Ma blessure n’est pas
bien grave. Ne te fais pas de mauvais sang. 4. Il a décidé de ménager ses forces. 5.
Tatiana a regardé la photo et a froncé ses sourcils. 5. Le marin la regardait de ses
yeux calmes. 7. Le lieutenant Potapov revenait du front dans la maison paternelle.
Mais déjà à la station il apprit que son père était mort un mois auparavant et
qu’une jeune cantatrice de Moscou avec sa fille s’était installée dans leur maison.
8. Une lampe éclairait ses cheveux et ses larges épaules. 9. Chez lui Paul a trouvé
une lettre de son vieil ami. 10. Dans la cuisine maman a dit : « Tu es très ému, je le
sens à ta respiration ». 11. Il sera difficile de trouver ces garçons. Ils n’ont laissé ni
leurs adresses, ni leurs noms, ni leurs prénoms. 12. De sa main droite il a touché sa
casquette. 13. Un homme marchait à ma rencontre. A son allure j’ai tout de suite
reconnu Pétrov. 14. Pardonnez à mon frère sa distraction. 15. Le matin alors que
maman versait du café dans ma tasse je lui racontais mon rêve. 16. Le vieux a ôté
son chapeau et s’est gratté la nuque. 17. Il attendait une lettre de sa femme et de
ses enfants.
Задание 30.
Je trouvai mon père assis devant la table de la salle à manger. Mon café au lait
était servi. Pendant que je croquais mes tartines, mon père me dit : « Tu ne sais pas
où nous allons ? Eh bien, voilà. Ta mère a besoin d’un peu de campagne. J’ai donc
loué, de moitié avec l’oncle Jules, une villa dans la colline, et nous y passerons les
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