Французская экономическая терминология по курсу "Основы экономической теории". Свиридонова В.П. - 16 стр.

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1. Ìèêðîýêîíîìèêà èçó÷àåò ôàêòîðû, îïðåäåëÿþùèå ýêî-
íîìè÷åñêèé âûáîð ñóáúåêòîâ.
2. Îíà èçó÷àåò óñëîâèÿ, â êîòîðûõ ñóáúåêòû îñóùåñòâëÿþò
ñâîé âûáîð.
3. Ìèêðîýêîíîìèêà çàíèìàåòñÿ îïðåäåëåíèåì óðîâíÿ çà-
íÿòîñòè, ïðîèçâîäèòåëüíîñòè, öåí íà ìåñòíûõ ðûíêàõ.
12. Modèle m économique Ýêîíîìè÷åñêàÿ ìîäåëü
Le modèle économique c’est l’ensemble de relations entre le plus grand
nombre de variables économiques possibles.
Textes à commenter:
1. Les modèles économiques sont des constructions abstraites permettant
de représenter, de façon plus ou moins complexe, l’évolution d’un système
économique pendant une période donnée et de la qualifier de façon
approximative. Ils sont donc des représentations de la réalité économique dans
lesquelles tous les éléments retenus sont définis avec précision (d’où la notion
d’agrégat) tout comme leurs relations mutuelles. Ces relations sont alors souvent
exprimées sous forme mathématique, en général des équations linéaires, du
premier degré; l’on peut ainsi étudier les conséquences sur les variables
endogènes, déterminées par les relations du modèle lui-même, des variables
exogènes qui sont déterminées indépendamment du modèle.
(Bernard, p.334)
2. Le modèle de Feldman.
Nous nous intéresserons ici à un modèle élaboré en 1927-1928 par un
économiste soviétique dans le cadre des travaux préparatoires du Gosplan pour
le premier plan quinquennal. Ce modèle, connu en Occident que dans les années
50, est considéré comme l’un des premiers modèles de croissance utilisant le
langage mathématique dans l’histoire de la pensée économique; bien que très
synthétique, il demeure une référence pour les relations croissance-
investissement. Plus que de montrer la relation entre croissance et taux
d’investissement, Feldman montre que c’est la structure de l’investissement
c’est-à-dire sa répartition entre les secteurs-branches, qui est déterminante pour
le rythme de croissance.
(Bernard, p. 334)
                         Traduisez en français:
     1. Ìèêðîýêîíîìèêà èçó÷àåò ôàêòîðû, îïðåäåëÿþùèå ýêî-
íîìè÷åñêèé âûáîð ñóáúåêòîâ.
     2. Îíà èçó÷àåò óñëîâèÿ, â êîòîðûõ ñóáúåêòû îñóùåñòâëÿþò
ñâîé âûáîð.
     3. Ìèêðîýêîíîìèêà çàíèìàåòñÿ îïðåäåëåíèåì óðîâíÿ çà-
íÿòîñòè, ïðîèçâîäèòåëüíîñòè, öåí íà ìåñòíûõ ðûíêàõ.

 12. Modèle m économique — Ýêîíîìè÷åñêàÿ ìîäåëü
    Le modèle économique c’est l’ensemble de relations entre le plus grand
nombre de variables économiques possibles.

                          Textes à commenter:
      1. Les modèles économiques sont des constructions abstraites permettant
de représenter, de façon plus ou moins complexe, l’évolution d’un système
économique pendant une période donnée et de la qualifier de façon
approximative. Ils sont donc des représentations de la réalité économique dans
lesquelles tous les éléments retenus sont définis avec précision (d’où la notion
d’agrégat) tout comme leurs relations mutuelles. Ces relations sont alors souvent
exprimées sous forme mathématique, en général des équations linéaires, du
premier degré; l’on peut ainsi étudier les conséquences sur les variables
endogènes, déterminées par les relations du modèle lui-même, des variables
exogènes qui sont déterminées indépendamment du modèle.
                                                               (Bernard, p.334)

                       2. Le modèle de Feldman.
       Nous nous intéresserons ici à un modèle élaboré en 1927-1928 par un
économiste soviétique dans le cadre des travaux préparatoires du Gosplan pour
le premier plan quinquennal. Ce modèle, connu en Occident que dans les années
50, est considéré comme l’un des premiers modèles de croissance utilisant le
langage mathématique dans l’histoire de la pensée économique; bien que très
synthétique, il demeure une référence pour les relations croissance-
investissement. Plus que de montrer la relation entre croissance et taux
d’investissement, Feldman montre que c’est la structure de l’investissement
c’est-à-dire sa répartition entre les secteurs-branches, qui est déterminante pour
le rythme de croissance.
                                                                 (Bernard, p. 334)


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